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Pour qui ont voté les Français âgés de 50 à 70 ans ?
On parle souvent des jeunes électeurs, de leurs ambitions, des réformes qu’ils souhaitent voir porter à l’Assemblée nationale, mais pour qui ont voté les travailleurs plus expérimentés lors du premier tour des législatives ?

Eux aussi se sont déplacés pour placer leurs bulletins dans les urnes dimanche dernier. Les plus de 50 ans ont défendu leurs idéaux politique en votant pour les partis politiques par lesquels ils se sentaient les plus représentés. Mais pour qui ont-ils voté ? Au lendemain des résultats des élections législatives, Ipsos dresse le profil des électeurs de chaque parti.

Encore en pleine activité, et très concernés à la fois par le pouvoir d’achat, la retraite dont le maintien des carrières longues, les électeurs entre 50 et 59 ans ont fait le choix de voter pour le Rassemblement National, porté par Jordan Bardella. Parmi les électeurs du parti, 40 % se situaient dans cette tranche d’âge. D’autre part, ils étaient 25 % à préférer l’alliance de gauche, le Nouveau Front populaire.  

Le Rassemblement national, grand favori ?

Selon l’étude d’Ipsos, les 60-69 ans ont eux aussi, eu une flagrante préférence entre tous les candidats. 35 % d’entre eux ont voté Rassemblement National. Là encore, les questions du pouvoir d’achat, de la retraite, et du chômage - pour les chômeurs longue durée n’ayant pas pu être recrutés à cause de leurs âges - ont dû jouer dans leurs prises de décisions. En second choix, ils ont également privilégié le Nouveau Front populaire (24 %), puis se sont retournés vers le camp présidentiel, représenté sous l’étiquette Ensemble (21 %).

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Les plus âgés ne suivent pas la tendance

Les 70 ans et plus n’ont pas les mêmes idées que leurs descendants. Revirement de situation : les plus âgés ont favorisé le vote pour le parti du président de la République, ils étaient 32 % à glisser une enveloppe au nom d’Ensemble dans les boites scellées. En revanche, leur second choix se portait là encore sur le Rassemblement National (29 %) et enfin sur la coalition de gauche (18 %).

Maintenant que plusieurs candidats se sont retirés pour ériger un rempart face au Rassemblement National, qui ces électeurs vont-ils choisir au second tour ? Voteront-ils à nouveau pour le Rassemblement National, en tête du premier tour, où se verront-ils forcer la main par les différentes stratégies politiques mises en place pour le second tour ?

Les 50-70 ans ont-ils eu le même vote ?

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Les 50-70 ans ont-ils eu le même vote ?

Les préoccupations politiques ne sont pas identiques selon l'âge des votants, c'est en tout cas ce qui semble ressortir de l'étude menée par Ipsos au lendemain du premier tour des élections législatives. 

Pour qui ont-ils voté ?

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Pour qui ont-ils voté ?

S'ils se sont déplacés en masse pour voter, aux yeux des 50-70 ans et plus, aucun parti n'a clairement remporté de majorité. 

Le Rassemblement National : choix favori

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Le Rassemblement National : choix favori

Pour les 50-59 ans, ainsi que pour les 60-69 ans, le Rassemblement National a été le premier choix dans les scutins. Près de la moitié des 50-59 ans ont choisi le parti représenté par Jordan Bardella. 

Coalition de gauche : choix d'option ?

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Coalition de gauche : choix d'option ?

le Nouveau Front populaire ne semble pas avoir convaincu, il semble être l'aternative pour l'ensemble des votants âgés de 50 à plus de 70 ans, bien que pour les 60-69 ans, il était le deuxième parti choisi. 

Les raisons du vote

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Les raisons du vote

Les dernières annonces de chaque parti sur les retraites, le pouvoir d'achat, l'immigration et le chômage ont fait pencher la balance dans les scrutins. 

Ensemble, le camp présidentiel

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Ensemble, le camp présidentiel

Tantôt en second choix des votes ou en troisième, il existe bien une catégorie d'électeurs séduite par les promesses du camp présidentiel, annonçées quelques jours plus tôt par Gabriel Attal. 

Dans la tourmente

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Dans la tourmente

Face aux résultats du premier tour des élections législatives, certains ministres ont appelé à contrer le Rassemblement National en incitant au retrait de certains candidats. Mais que se passera-t-il si le Rassemblement National parvient à une cohabitation avec le gouvernement ? 

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