Pic de chaleur, orages, rafales de vent...Le mois de mai a été riche en rebondissement, mais ça pourrait également être le cas du mois de juin 2023. Entre temps sec et averses, que nous réserve les prévisions...
Ce jeudi 25 mai 2023, les dernières avancées de l’enquête sur l’accident causé par Pierre Palmade, en février dernier, ont été dévoilées. Après expertise de l’épave du véhicule de l’humoriste, les...
En cas de périodes manquantes dans votre carrière, vous avez la possibilité de racheter des cotisations. Quelles sont les conditions requises ?
Déjà mis en place dans plusieurs pays du monde, ce nouveau dispositif pourrait bien signer la fin des cartes de crédit. De quoi s'agit-il ? On vous explique tout.
Si vous trouvez que les prix du stationnement dans votre ville sont relativement élevés, vous risquez d’être déçu par les nouvelles mesures envisagées. Certaines métropoles françaises souhaitent les...
Ce 28 mai, Ophélie Winter revient à la télévision pour les 30 ans de "Dance Machine" sur W9. De son succès dans les années 1990 à nos jours, la star s'illustre à chaque soirée devant les photographes. Voici...
Les générations changent, les expressions également. Certaines d’entre elles sont aujourd’hui populaires chez les jeunes et font même leur entrée dans le dictionnaire chaque année. Voici un quiz pour tenter...
© AFPAFPDerrière "l'affaire Bygmalion", "l'affaire des comptes de campagne de Nicolas Sarkozy". Voilà ce que soutient Patrick Maisonneuve, avocat de Bygmalion, lors d'une conférence de presse ce lundi 26 mai. Selon ce dernier, les "fausses factures" ont été établies "à la demande de l'UMP" afin de dissimuler les comptes de campagne de Nicolas Sarkozy.
Pour l'avocat, les fausses conventions dont parlait Libération servaient en réalité à maquiller des événements de campagne. "On parle de l'affaire Bygmalion, moi je pense que c'est l'affaire des comptes de campagne du candidat Nicolas Sarkozy" a affirmé Me Maisonneuve ajoutant que la société qu'il représente avait "alors subi un chantage économique".
Ces factures litigieuses porteraient sur un montant de 10 millions d'euros. Soit la quasi la totalité de la somme déboursée par les sympathisants UMP lors du Sarkothon. Selon Europe 1, des policiers sont en ce moment en train d'effectuer une perquisition dans les locaux de l'UMP.
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