
Owen L., le principal suspect dans l’affaire du meurtre de Louise, 11 ans, est passé aux aveux. Il a été déféré au parquet ce mercredi soir, tout comme sa petite amie Laurianne B.
C’est un impôt qu’Emmanuel Macron n’est pas prêt d’oublier. La hausse de la contribution sociale généralisée (CSG) payée par les retraités a en effet engendré un véritable mouvement de révolte chez les Françaises et les Français concernés. Tant et si bien que ceux-ci ont retrouvé le chemin de la rue, expliquait alors Planet, et ont su faire ployer le gouvernement. L’exécutif a fini par revenir sur sa décision. Depuis, il paraît logique de penser que la CSG est une charge essentiellement soutenue par les anciens actifs. Mais qu’en est-il en vérité ?
Dans les faits, indique Dossier Familial, tous les revenus sont soumis - ou presque - à la contribution sociale généralisée. Celle-ci s’impose en effet aux :
Par conséquent, la CSG pèse sur l’ensemble des Françaises et des Français.
Bien sûr, certains revenus échappent à la CSG. C’est le cas, le plus souvent, de prestations pensées pour venir en aide aux foyers les plus précaires telles que l’allocation de logement sociale (ALS) ou l’aide personnalisée au logement (APL) mais aussi des rémunérations versées aux apprentis et aux stagiaires par exemple.
Du reste, le taux exact que paient les Françaises et les Français dépend de leur type de revenus. Pour les retraités, il varie de 0% à 8,30%, dépendamment du montant de la pension. Pour les salariés, il est d’office fixé à 9,20%.