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Le départ du général de Gaulle, après son échec au référendum d’avril 1969, provoque une élection présidentielle anticipée. A l’issue du premier tour qui, le 1 er juin, a vu sept candidats s’affronter, il ne reste que deux prétendants : le gaulliste Georges Pompidou, ancien premier ministre du général, et le centriste Alain Poher, président du Sénat. Le Parti communiste qui a recueilli un peu plus de 20 % des suffrages refuse de donner des consignes de vote à ses électeurs, soulignant la proximité idéologique des deux hommes.
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Ce que Jacques Duclos, candidat du Parti, exprime alors par la formule : "C’est bonnet blanc et blanc bonnet". De manière plus abrupte, d’autres dirigeants du Parti diront qu’ils refusent de choisir "entre la peste et le choléra". L’abstention sera massive pour ce second tour - 31 % - et Georges Pompidou l’emportera confortablement avec 58 % des suffrages exprimés. Jacques Duclos n’est pas l’inventeur de la formule "bonnet blanc et blanc bonnet" puisqu’on la retrouve dès le… 18 e siècle. Mais il a largement contribué à la populariser.
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