D'ici 2100, la température moyenne dans le nord de la France sera comparable à celle de la région de Montpellier actuellement. La faute au réchauffement climatique.
Certains ont opté, de nouveau, pour le confinement. C’est le cas du Pays de Galle, mais aussi de certaines municipalités portugaises, qui se mettent sous cloche à compter du vendredi 23 octobre 2020. D’autres, en revanche, préfèrent passer par d’autres mesures, moins contraignantes, au moins pour les entreprises. Emmanuel Macron l’a dit lui même : il est désormais l’heure de rogner davantage nos contacts "un peu inutiles" et se concentrer sur la sauvegarde de notre économie. C’est précisément à cela que sert le couvre-feu, dont Jean Castex annonçait hier la généralisation à quelques 43 millions de Françaises et de Français.
Une telle réponse n’a rien de très surprenant quand, comme le rappelle France Info, l’Hexagone compte près d’un million de cas. En 24h seulement, le nombre de contaminés a bondi de plus de 40 000 personnes, ce jeudi 22 octobre 2020. De quoi inquiéter les autorités politiques autant que sanitaires. D’autant plus que les autres chiffres ne sont pas plus engageants : à Paris, par exemple, le virus a déjà tué près de 2 000 personnes… Sans oublier l’augmentation considération du nombre de patients hospitalisés (+847) autant que de ceux placés en réanimation (+71)...
Ces départements "protégés" de la CoVid
Pourtant, si certains départements s’en sortent très mal, comme c’est le cas de la capitale, de sa proche banlieue (Seine-Saint-Denis) ou même du Bas-Rhin, du Val d’Oise et du Nord ; d’autres semblent être littéralement épargnés, depuis les débuts de la pandémie. C’est, du moins, ce qui ressort des données de Santé Publique France, qui recense aussi les zones où les décès se comptent parfois sur les doigts d’une main. Plus de détails dans notre diaporama