La technologie nécessaire au bon fonctionnement de la téléphonie mobile va entraîner une révolution : les anciennes fréquences 2G et 3G vont être délaissées par les opérateurs. Or, la connexion des alarmes...
Cette mesure a deux objectifs : lutter contre la surconsommation énergétique et venir en aide aux foyers les plus précaires.
En pratique, les premiers volumes de gaz ou d’électricité seront facturés à un tarif "de base", entre 3 et 10% moins chers que les tarifs actuels. Les prix augmenteront par paliers en fonction du volume consommé.
"75% des ménages verront leur facture baisser".
D’après François Brottes, le député PS à l’initiative de cette proposition, cette loi devrait alléger la facture de trois quarts des foyers français. Quant aux autres, les gros consommateurs, ils verront la note s’alourdir de "quelques dizaines d’euros".
Selon une étude du Credoc publiée le 7 mars, la facture énergétique moyenne d’un foyer français s’élève aujourd’hui à 1450 euros par an.
En outre, le gouvernement dévoilera un plan pour améliorer l’isolation d’un million de logement pour remédier aux cas surconsommation subie. Le texte prévoit dès cette année l’extension des tarifs sociaux, permettant chaque année, en moyenne, 90 euros d’économies sur la note d’électricité et 156 euros sur celle du gaz aux foyers les plus modestes.
Une "usine à gaz" selon l’UMP
Lors du débat, l’opposition a regretté la complexité de cette réforme, notamment en ce qui concerne les critères pour définir les volumes déclenchant un bonus ou un malus. L’absence de mesure concernant les 15% de ménages chauffés au fioul ou au bois est également pointée du doigt.
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