Communication, adaptabilité, vision d’ensemble ... Le thème astral de François Bayrou nous donne les prévisions des astres pour son début de mandat de Premier ministre. Stanislas Delorme, consultant intuitif,...
Les tournages de certaines séries deviennent éprouvant. C'est le cas notamment de Plus belle la vie selon l'un des acteurs Jean-Charles Chagachbanian, qui incarne Franck Ruiz, informe Le Parisien. Pour lui, "c'est deux fois plus fatigant pour tout le monde". Mais pourquoi donc les conditions de travail changent-elles soudainement ? Cela semble en partie lié à la crise sanitaire engendrée par le coronavirus Covid-19. En effet, le tournage de la série s'est interrompu le 17 mars 2020 et n'a pu reprendre qu'après le confinement.
Les acteurs sont donc revenus sur les plateaux marseillais dès le 26 mai 2020, mais rien n'était comme avant. Évidemment, des mesures sanitaires exceptionnelles ont été mises en place afin de respecter les consignes indiquées par le gouvernement : port du masque obligatoire pour les comédiens et l'équipe technique entre les scènes, plus de contacts physique directs, ou encore utilisation du gel hydroalcoolique.
"Cela me fait suer"
Autant de nouvelles règles qui bouleversent les habitudes des acteurs et en particulier de Jean-Charles Chagachbanian : "On joue le jeu, on respecte les parcours fléchés, on ne se touche plus, mais, honnêtement, cela me fait suer". Il espère d'ailleurs que ce dispositif va bientôt s'arrêter, car jouer demande beaucoup plus d'effort qu'à l'accoutumée. "Pour les caméramans ou les techniciens qui ont le masque toute la journée, c'est encore pire que nous ! Nous, au moins, on peut l'enlever quand on joue", conclut le comédien.
Ses collègues parviennent à relativiser la situation, à l'instar d'Alexandre Fabre, l'interprète de Charles Frémont qui comprend la réaction de Jean-Charles Chagachbanian. "Cela bouscule un peu pour des acteurs comme lui qui ne peut pas s'empêcher de toucher, car c'est un tactile. Mais cela fait tellement de bien de revenir. Les fans me demandaient ce que je faisais et où j'étais. Même si les gens ont aimé replonger dans les rediffusions, ils ont hâte de reprendre l'action où elle avait été laissée".