La technologie nécessaire au bon fonctionnement de la téléphonie mobile va entraîner une révolution : les anciennes fréquences 2G et 3G vont être délaissées par les opérateurs. Or, la connexion des alarmes...
Valérie Trierweiler a fait sa rentrée dans les médias ce dimanche 1er septembre. Invitée du JT de M6, la compagne de François Hollande s’est dévoilée lors d’un reportage de 13 minutes. On la voit ainsi dans son bureau de l’Elysée, où elle explique y passer « trois à quatre heures par jour ». Valérie Trierweiler se confie aussi un peu sur sa nouvelle vie depuis que François Hollande a été élu président de la République. « Ce n'est pas la même vie. Je regrette de ne pas pouvoir me promener toute seule dans la rue, faire le marché et marchouiller comme j'aimais ... » avoue-t-elle.« Pas très présente » auprès de François HollandeValérie Trierweiler a ensuite évoqué son rôle de première dame, un rôle où elle a eu du mal à trouver ses marques. « Les gens ne me connaissent pas, mais c'est sans doute de ma faute parce que je n'ai pas donné les clés. Je ne suis pas la personne distante que l'on a imaginée » explique-t-elle. La compagne du président a ensuite répondu aux questions de Nathalie Renoux, sur le plateau du journal. Elle a ainsi expliqué qu’elle ne jouait « aucun rôle » auprès du chef de l’Etat. C’est le cas sur le dossier brûlant de la Syrie. Valérie Trierweiler assure n’être « pas très présente avec lui dans ses moments-là ». « Je n’ai pas d’avis personnel » sur la question d’une intervention en Syrie déclare-t-elle, même si elle estime qu’ « on ne peut pas accepter l’inacceptable ». « Je suis une maman et ces images d’enfants alignés morts m’ont empêchée de dormir pour être honnête ».« Pas de changement marital à l’horizon »Reste qu’en tant que Première dame, Valérie Trierweiler a des obligations. La journaliste indique « se plier au protocole ». « J’assume mon rôle » déclare-t-elle. «Sans être une potiche pour autant, je me place là où on me dit de me placer, mais j’ai aussi une activité à côté de ça ». Valérie Trierweiler confie aussi qu’elle n’était « pas préparée » à ce rôle, qu’il lui a « fallu du temps », mais explique avoir trouvé dans l’humanitaire et le bénévolat le rôle qui lui correspond. Un engagement sincère par lequel elle ne cherche pas à donner d’elle une image meilleure. « Je cherche à être moi-même, je veux être utile et je suis donc naturellement allée vers les enfants vulnérables » explique la compagne de François Hollande. « Je suis une femme de gauche, vraiment ancrée à gauche, j'ai forcément 50% de la population qui n'adhèrent pas à ce que je suis » confie-t-elle. Quant aux rumeurs d’un éventuel mariage avec le président de la République, la réponse est claire : « il n’y a pas de changement marital à l’horizon ».A revoir en vidéo : Valérie Trierweiler sur ses difficultés à s'acclimater à l'Elysée