Après plus de 5 ans de travaux, la cathédrale la plus célèbre du monde va rouvrir ses portes au public. Dès le 8 décembre, elle sera à nouveau accessible aux visiteurs, mais pas dans n'importe quelles...
Elle n’a blanchi que de côté. Ce détail n’a pas échappé aux internautes. Depuis plusieurs mois, la barbe du Premier ministre ne cesse en effet d’intriguer. Lors de son discours très attendu à l’Assemblée nationale ce mardi 28 avril, certains se sont ainsi plus penchés sur la forme d’Edouard Philippe que sur le fond de son allocution, détaillant le plan de déconfinement. "Pression", "stress", certains y voient un signe de fatigue.
Depuis quelques mois, et d’autant plus depuis le début du confinement, le changement physique d’Edouard Philippe ne passe pas inaperçu. Sa barbe, qui blanchit à vue d’œil du côté gauche de son visage, lui vaut différents surnoms : "Kung Fu Panda" dans les travées de l’Assemblée Nationale, le "102e Dalmatien" ou encore "la vache normande", rapporte Challenges.
Barbe blanche d’Edouard Philippe : un changement progressif
Depuis janvier 2019, l’ancien maire du Havre est en première ligne sur différents dossiers. Parmi eux, l’un des plus complexes du quinquennat : le projet de retraite à point, que d’aucuns appellent d’ailleurs la mère des réformes.
Pendant la crise des "gilets jaunes", il avait aussi dû mener, avec Emmanuel Macron, le débat national souhaité par le président de la République. La fatigue a dès lors commencé à se lire sur le visage du chef du gouvernement. Un détail que les internautes n’avait d'ailleurs pas manqué de relever.
Edouard Philippe à la barbe blanche : fatigue et stress combinés ?
Certains évoquent d’ailleurs des pistes médicales comme le vitiligo, qui se caractérise par "des zones dépigmentées plus ou moins étendues", explique Doctissimo. Selon le site médical, cela peut être dû à une "disparition des mélanocytes, les cellules à l’origine de la production de mélanine, le pigment de la peau". Cette dépigmentation partielle de la peau peut être engendrée par "un stress intense, une blessure ou un coup de soleil", précise Gala.
Le Parisien, expliquait déjà il y a quelques mois qu'il fallait plutôt chercher du côté de la pression que subit l’homme politique. Le journal évoque "des moments de tensions que Philippe intériorise, au point d’en porter physiquement quelques stigmates, comme cette légère dépigmentation de la peau apparue récemment sur un coin de sa barbe".