Ce jeudi 10 octobre, les coaccusés de Dominique Pelicot ont donné leur version des faits, des justifications ubuesques pour certains.
La traque des boîtes noires du vol MH370 se poursuit dans l’océan Indien. Près d’un mois après que l’avion de Malaysia Airlines s’est y abîmé, les autorités australiennes ne relâchent pas leurs efforts. Aidées de sept autres pays, elles ont même annoncé lundi qu’aucune limite de temps n’avait été fixée concernant les recherches de la carcasse de l’appareil. "Nous le devons aux familles, à tous ceux qui prennent l’avion, aux gouvernements inquiets qui comptaient des ressortissants dans l’appareil, et au monde en général, sidéré par ce mystère depuis trois semaines maintenant", a déclaré Tony Abbott, le Premier ministre australien. "Je ne fixe pas de limite dans le temps. On peut chercher pendant longtemps encore. L’intensité et la magnitude des opérations, loin de diminuer, augmente", a-t-il par ailleurs promis.
Un navire équipé de détecteur de boîtes noires a été dépêchéDès lundi, un navire australien équipé d’un détecteur de boîtes noires et d’un véhicule sous-marin est ainsi parti au large des côtes ouest du pays. "Il est essentiel que nous trouvions des débris en surface pour réduire l’étendue de la zone de recherche afin de pouvoir conduire des recherches sous-marines", a de son côté expliqué le capitaine de la Marine américaine, Mark Matthews au micro de la BBC australienne.
D’abord établie au sud de l’océan Indien, la zone de recherche a finalement été réduite la semaine dernière. De nouveaux calculs de la trajectoire de l’appareil qui transportait 239 passagers et membres d’équipages ont permis de déterminer qu’il avait volé plus rapidement que prévu et donc terminé son voyage plus au nord de la zone initiale. La nouvelle zone s'étend donc sur 319.000 km2 (la surface de la Norvège), à environ 1.850 km à l'ouest de Perth, la grande ville de la côte australienne occidentale.
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