
Depuis sa création au début du siècle dernier, le milieu de la bande dessinée n’a jamais cessé de vendre. Un champ d’action en constante évolution qui ne faibli donc pas. Si certains sont nostalgiques des...
Les îles de Saint-Martin et de Saint-Barthélemy ont été profondément abîmées par le premier ouragan de l’histoire, classé en catégorie cinq, à frapper les Petites Antilles. De nombreuses victimes témoignent de ce "cauchemar", comme cette journaliste de Guadeloupe 1ere qui raconte au Monde, que Saint-Barthélemy "a été rayé de la carte". "Tout ce qui n’avait pas un minimum de solidité n’existe plus", déclare-t-elle.
Les rafales de vent allant jusqu’à plus de 300 km/h, ont détruit la vie de nombreuses personnes. Une habitante de Saint-Martin a expliqué à France Info : "Tout est mort, tout a disparu. C'est un monstre qui nous est tombé sur la tête. J'ai tout perdu, ma maison, mon business. On n'a plus rien".
"Il y a énormément de dégâts matériels"
Ce n’est pas le premier ouragan pour certaines victimes, mais c’est de loin le plus fort jamais vécu, comme le raconte un autre habitant de l’île : "J'ai fait quelques cyclones, mais là, comme ça, c'est du jamais-vu". Une réunionnaise, qui était présente à Saint-Barthélemy, a décrit la scène d’horreur à Linfo.re, le média local de la l’île de la Réunion : "Tout ce qui se trouvait au bord de mer a été ravagé. Des maisons entières ont été déplacées ou noyées, d’autres qui se sont envolées selon les quartiers. Beaucoup de toit ont disparu des maisons, il y a énormément de dégâts matériels".
"Ils ont tout perdu"
Des proches des victimes se confient également sur "l’enfer" qu’ils vivent, inquiets pour ceux qu'ils peinent à joindre. Un habitant de Brest a déclaré au micro de RTL : "Mon fils vit là-bas depuis 6 ou 7 ans. Il a réussi à nous appeler hier en fin d’après-midi, on n'avait pas de nouvelles depuis deux jours… Mon fils pleurait, mais il m’a dit qu’ils allaient se battre … Ils ont tout perdu. Tout".
De nombreuses personnes ont publié des images des dégâts sur Twitter.