
Quatre mois après le verdict du procès des viols de Mazan, l’ancienne maison de Dominique et Gisèle Pelicot laisse une cicatrice dans le cœur des habitants due ce village du Vaucluse.
L’homme arrêté et mis en examen
De nationalité marocaine, l’homme en situation irrégulière a été mis en examen par le parquet de Bobigny et placé en détention lundi soir. Il est en effet inculpé pour violences volontaires ayant entrainé une mutilation permanente.
Selon les premiers éléments, le couple était dans "un contexte de séparation" à l’initiative de la jeune femme. Le compagnon aurait ainsi voulu lui laisser une trace à vie comme punition. "Il s'est ainsi introduit chez la jeune femme et l'a lacérée au visage pour la marquer physiquement et psychologiquement", a expliqué le cabinet du maire d'Aubervilliers.