
Quatre mois après le verdict du procès des viols de Mazan, l’ancienne maison de Dominique et Gisèle Pelicot laisse une cicatrice dans le cœur des habitants due ce village du Vaucluse.
En dépannage, c’est le peloton d’exécution
Beaucoup de condamnés à mort et pas assez de bourreaux pour l’Arabie-Saoudite. "Certaines exécutions ont dû être retardées et d’autres se sont faites dans la confusion parce que l’exécutant était en retard", d’après une source citée par un quotidien des Emirats et reprise par le site belge rtbf.be. Face à la pénurie de coupeurs de tête, les religieux d’Arabie Saoudite ont donc dû se tourner vers une nouvelle méthode d’exécution. D’abord utilisée comme système de dépannage,"les religieux semblent convenir qu’une fusillade peut faire l’affaire", rapporte le site du plat pays.Trafic de drogue, meurtre, viol ou encore vol à main armée sont passibles de la peine de mort en Arabie-Saoudite. Selon les chiffres de l’Agence France Presse, 76 personnes ont été décapitées en 2012 dans le royaume.