Dans l’Indre, une nouvelle arnaque inquiète les autorités. Deux hommes, se faisant passer pour des agents du gestionnaire du réseau d’eau, utilisent un stratagème aussi étrange qu’efficace pour dérober...
Le Paradis blanc, Le Groupie du pianiste, Vivre... Michel Berger était l'un des artistes français les plus talentueux de sa génération. Avec son épouse, la chanteuse France Gall, ils formaient un duo culte qui a marqué toute une génération. De leur histoire d'amour sont venus au monde deux enfants : Pauline, née en 1978 et Raphaël, né en 1981.
Le 2 août 1992, Michel Berger s'éteignait d'une crise cardiaque à la suite d'un match de tennis. Cinq après sa mort, sa fille Pauline, disparaissait à son tour. De quoi est-elle décédée ?
France Gall : ses tristes confidences sur la mort de sa fille
La première fille du couple de stars était atteinte de la mucoviscidose, une maladie rare qui touchait ses voies digestives et respiratoires. Alors que son état de santé empirait, sa mère décida de mettre sa carrière en pause afin de prendre soin d'elle. Malheureusement, la jeune femme qui venait de souffler ses 19 ans, décèdera le 15 décembre 1997, cinq ans après son père. Une disparition qui a bouleversé sa mère, comme elle l'avait expliqué dans un documentaire diffusé en 2001 sur France 3.
"On n’en revient pas de vivre un truc pareil. On n’en revient pas de vivre ça, car c’est justement le truc qu'on ne veut pas et qu’on ne peut pas vivre. Tout le monde dit que c’est impossible, inhumain… Et pourtant, on me le fait vivre et je n’en revenais pas que ce soit possible", avait-elle raconté.
Une épreuve douloureuse pour France Gall qui a déclaré par la suite : "J’ai tout de suite voulu être la maman qui réussit le mieux au monde à survivre et à intégrer d’avoir perdu un enfant parce que sinon, on est foutu. Ma manière de penser ça a été : 'C’est extraordinaire de l’avoir connue pendant dix-neuf ans. On me l'a reprise, mais on me l'a quand même donnée pendant dix-neuf ans'".
Pauline Berger repose auprès de son père et de sa mère dans une concession au cimetière du Montmartre dans la division 29. La sépulture est devenue une maison de verre qui abrite un grand cerisier japonais.