Après plus de 5 ans de travaux, la cathédrale la plus célèbre du monde va rouvrir ses portes au public. Dès le 8 décembre, elle sera à nouveau accessible aux visiteurs, mais pas dans n'importe quelles...
Invité au journal de 20 heures de France 2, ce dimanche 22 septembre 2024, l e Premier ministre Michel Barnier a tenu à rassurer les Français : une hausse des impôts n'est pas à l'ordre du jour. Il a insisté sur le fait que les Français sont déjà parmi les plus imposés d'Europe et a assuré qu'il n'alourdirait pas les charges fiscales sur "les plus modestes, les travailleurs, ni les classes moyennes".
Pourtant, Michel Barnier n'a pas éviter de faire un point sur la situation critique de la dette publique, qui dépasse les 3 000 milliards d'euros avec "50 milliards d'intérêts à payer" chaque année.
Un impôt pour les plus riches
Dans ce contexte, le Premier ministre a évoqué la possibilité que "les personnes les plus fortunées participent à l’effort national", sans pour autant confirmer un retour de l'impôt de solidarité sur la fortune (ISF). Il a également mentionné une réflexion sur l'implication de "certaines très grandes sociétés" dans cet effort, tout en évitant des annonces précises.
Michel Barnier a également adressé un message fort concernant la maîtrise des dépenses publiques, déclarant que "l’on peut faire bien, parfois mieux, avec moins d’argent public".
Ce point sera au cœur des discussions lors de la première réunion du gouvernement, prévue ce lundi 23 septembre.