Jean Castex : ses confidences touchantes sur sa familleAFP
A l'occasion des Journées du patrimoine qui ont eu lieu le 19 et 20 septembre 2020, Jean Castex a accueilli le public dans son bureau ministériel. D'ordinaire très discret sur sa vie privée, il s'est livré sur sa relation avec sa famille, et notamment avec deux de ses filles.
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Cela fait maintenant plus de trois mois que Jean Castex a été nommé chef du gouvernement. A l'occasion des Journées du patrimoine qui se sont déroulés les samedi 19 et dimanche 20 septembre 2020, l'ancien maire de Prades s'est porté volontaire pour servir de guide aux visiteurs de Matignon. Le Parisien, qui a pu assister à l'une des visites,  a rapporté l'enthousiasme de l'ancien maire de Prades à l'égard de ce week-end. 

"Je fais le guide avec plaisir. Chaque année dans ma commune, je participe activement aux Journées du patrimoine, y compris comme conférencier. Je suis extrêmement heureux d'ouvrir les portes de Matignon aux citoyens et que les visiteurs puissent, à leur tour, se sentir inspirés par ce lieu où la politique de la France devient son histoire", a-t-il déclaré auprès du quotidien régional. 

Jean Castex : un bureau décoré à son image

A sa nomination, Jean Castex a donc investi les lieux qu'Edouard Philippe occupait depuis trois ans. Au fur et à mesure de son installation, le chef du gouvernement a personnalisé son nouveau bureau à son image... "Quand il est arrivé, l'actualité très chargée ne lui a pas permis de déménager certaines affaires. C'est finalement après les congés d'août qu'il a remonté de Prades des objets qui lui tiennent à cœur ", a confié un des proches du Premier ministre. De quels objets s'agit-il ? Selon le journal, un presse-papiers en forme d'anneaux olympiques et un mug Paris 2024 trônent sur le bureau de Jean Castex, "en souvenir de la période pas si lointaine où il était chargé de superviser l'organisation des Jeux Olympiques", écrit Le Parisien. Toutefois, les visiteurs ont également pu apercevoir des éléments très personnels, qui ont conduit Jean Castex à faire des déclarations très touchantes au sujet de sa famille.

Jean Castex : sa confidence au sujet de ses filles

Sur son espace de travail, Jean Castex a également disposé deux photographies encadrées. La première est un souvenir de son mariage avec Sandra Ribelaygue, conseillère municipale de Valcebollère en Occitanie. Les deux tourtereaux se sont rencontrés dans les Pyrénées-Orientales, où le Premier ministre a été maire de Prades pendant plus de dix ans. A droite, les visiteurs découvrent une photo du chef du gouvernement avec ses quatre filles. L'occasion pour Jean Castex de se confier sur ses relations familiales. "Les deux plus jeunes passent me voir tous les soirs en rentrant de l'école et du lycée. Elles me racontent leur journée de classe, ce qu'elles ont appris, leurs amis, leurs projets. Je les écoute toujours avec attention. Ma famille, c'est ma bouée, mon point de repère. J'en tire à la fois de l'énergie et de la sérénité", livre-t-il. 

Cette visite fut également l'occasion pour les curieux d'en apprendre un peu plus sur les deux grandes passions du Premier ministre...

Jean Castex : connaissez-vous les passions du Premier ministre ? 

Planet vous le racontait il y a quelques mois : Jean Castex est un véritable passionné d'histoire ferroviaire. Quelques exemplaires de son livre consacré au Train jaune de la ligne Perpignan-Villefranche sont d'ailleurs empilés sur une étagère derrière son bureau. "Je nourris une véritable passion pour l'histoire ferroviaire. J'aime le train car non seulement l'unité de la France s'est affirmée avec les liaisons des chemins de fer, en leur temps miraculeuses, mais le train est aujourd'hui un moyen de transport écologique et efficace, soutenu par le plan de relance", a confié le chef du gouvernement. 

Bien que peu sportif, le locataire de Matignon est également passionné de rugby. Les visiteurs ont eu l'occasion de le découvrir en voyant "le maillot de l'équipe locale, mis sous cadre et signé de tous les joueurs, posé juste derrière un ballon (lui aussi dédicacé) du Stade toulousain", écrit Le Parisien.