
Les grands-parents du petit Emile, ainsi que deux de leurs enfants, ont été placés en garde à vue ce mardi 25 mars pour "homicide volontaire" et "recel de cadavre". Un rebondissement qui recentre brusquement...
© abacapressUn avion privé, la douceur d’une soirée à Genève, le bar à cocktails d’un palace, un public à priori tout acquis à sa cause, un modeste cachet de 150 000 euros et pas de journalistes. Tout semblait réuni pour que Nicolas Sarkozy passe une bonne soirée au gala du Karen Hayessod. Oui mais voilà, selon le Nouvel Observateur, l’ancien chef de l’Etat avait sa tête des mauvais jours. Pas question dès lors de caresser dans le sens du poil les 450 membres de la communauté juive, réunis par le principal organisme de collecte de fond pour Israël. Devant un public médusé, l’ancien président de la République a repris ses vieilles habitudes, passant au karcher la politique du premier ministre Benyamin Netanyahou, l’homme qui « enferme l’Etat hébreu dans les murailles de Jéricho », rapporte l’habdomadaire.
Plutôt que les murailles de la cité, c’est sa cote de popularité dans l’assistance qui s’est alors effondrée : la critique de la politique israélienne n’était visiblement pas au menu. Huées, mines consternées, la salle n’aurait pas apprécié les propos de Nicolas Sarkozy. Une version toutefois démentie en bloc par son entourage. « Il n'y a pas eu d'incidents, pas de « mécontentements » lors de cette soirée. Nous contestons aussi le montant de 150 000 euros » a-t-on fait répondu. Organisateur de la soirée, le président de Karen Hayessod a lui aussi volé au secours de son invité. « Cela s'est même terminé par des applaudissements et une standing ovation [… ] dans l'ensemble le public a adhéré aux points de vue du président » a-t-il indiqué.