
"La Russie n’est pas la cause de la droitisation, mais elle cherche à capitaliser sur les mouvements populistes, à les amplifier. Elle entend légitimer auprès des publics occidentaux les codes de la rhétorique populiste, en particulier de droite et d’extrême droite en Europe, en faisant penser qu’ils peuvent constituer des alternatives crédibles aux dérives néolibérales. La Russie est finalement l’aiguillon de ces populisme", expliquait le chercheur en relations internationales, Maxime Audinet dans Libération.