![Tensions politiques : chez LFI, les menaces de morts pleuvent](/files/styles/pano_m/public/images/article/3/5/7/2967753/vignette-focus.jpg?itok=hyG4BT1M)
Le contexte politique actuel est extrêmement tendu… La France Insoumise reçoit des menaces de mort. A contrario, l'eurodéputée LFI Rima Hassan vient d'être accusée de menace de mort elle aussi.
Sa phrase "Gnagnagna, pauvre conne !" avait fait le tour du web après qu'il a été chahuté lors d'une soirée à Nuit Debout, place de la République, à Paris. Le philosophe et académicien Alain Finkielkraut est revenu sur ces faits jeudi soir dans l'émission "C à vous". Avec une comparaison pour le moins surprenante.
"Je devrais le breveter. C’est comme Nabilla, c’est mon ‘non mais allô quoi’", a ainsi déclaré Alain Finkielkraut sur France 5. Et d'ajouter plus sérieusement : "Il faut faire attention à ne pas se prendre soi-même trop au sérieux, d’où la comparaison".
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Le philosophe a par ailleurs expliqué sa réaction très médiatisée face à une femme qui le menaçait, selon lui. "Elle était derrière moi, les propos étaient extrêmement violents, elle ne cessait de marteler : 'Des coups de lattes, des coups de lattes, des coups de latte' et, n’en pouvant plus, je lui ai dit ce 'gnagnagna'. Franchement, j’ai été poussé à bout, j’aurais pu partir silencieusement, imperturbé, malheureusement je ne suis pas imperturbable", a-t-il expliqué.
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