La technologie nécessaire au bon fonctionnement de la téléphonie mobile va entraîner une révolution : les anciennes fréquences 2G et 3G vont être délaissées par les opérateurs. Or, la connexion des alarmes...
Monde, Jean-Pierre Raffarin s’est en effet réjoui que le président de l’UMP ait accepté, au terme d’âpres débats, de faire l’inventaire du quinquennat de Nicolas Sarkozy. "Je suis heureux de voir que la lucidité l’emporte, a ainsi déclaré l’ancien Premier ministre, cet exercice me paraît d’autant plus nécessaire que la probabilité d’un retour de Nicolas Sarkozy n’est pas nulle".
Il salue la décision de Jean-François Copé. Au cours d’une récente interview accordée auUn bilan "globalement positif"Figurant parmi les premiers au sein du parti d’opposition à avoir réclamé un bilan des années Sarkozy, le député de la Vienne par ailleurs estimé que ces cinq années avait été marquées par "quelques faiblesses", avant d’aussitôt préciser que le quinquennat du champion de la droite "est globalement positif" et ce notamment grâce "au leadership", à "la réactivité aux crises", à "la pratique de la réforme permanente" et à "la compréhension de la demande d’ordre des couches populaires". Selon lui, "Nicolas Sarkozy n’aurait jamais dû perdre l’élection présidentielle".
"Le sarkozysme est une des cultures de l’UMP"A l’aube de la prochaine présidentielle, et alors que le président de l’UMP a récemment lancé la reconquête, l’ancien chef du gouvernement de Jacques Chirac a préconisé de "corriger la stratégie du clivage pour privilégier la cohésion sociale". Concernant l’éventuel retour en politique du prédécesseur de François Hollande, Jean-Pierre Raffarin a expliqué : "le sarkozysme est une des cultures de l’UMP, le nier est ridicule (…) mais l’entrée anticipée de Nicolas Sarkozy dans la bataille politique lui compliquerait la tâche et freinerait l’émergence de nouveaux talents".