
Plusieurs voies rapides sont sur la sellette en France, alors que le gouvernement veut mettre l'accent sur les déplacements en train.
© AFPQu'on l'appelle sardine qui bouche le Vieux-Port ou monstre du Lochness, le retour de Nicolas Sarkozy aux affaires est le serpent de mer de l'actualité politico-médiatique. A défaut d'un retour en politique, c'est la question de son avenir personnel qui cristallise les attentions. Selon le Financial Times, l'entourage de l’ancien président a confirmé avoir reçu de nombreuses "propositions" mais ne s'être véritablement engagé auprès de personne.
Pourtant, le quotidien britannique croit savoir qu'une alléchante proposition en provenance du Qatar aurait de quoi attirer l'attention du candidat malheureux à l'élection présidentielle de 2012. Le pays du Golfe, associé à d'autres investisseurs, serait prêt à débourser 500 millions d’euros dans un fonds d'investissement dont Nicolas Sarkozy aurait la charge. A lui de répartir l'argent comme bon lui semble : pour soutenir les pays émergents comme le Brésil ou les industries en Espagne ou au Maroc.
Reste que le destin national de Nicolas Sarkozy est étroitement lié à son destin international. Dans les confidences qu'il a fait au magazine Valeurs Actuelles, l'ancien chef de l’Etat exprimait l'idée qu'un retour sur la scène française serait conditionné à l'acquisition d'une "crédibilité économique car les Français ont soif de cela. Et il faut s'attendre à me voir prendre des initiatives économiques fortes". Mais dans l'affaire, Nicolas Sarkozy, dont la position officielle est pour l’heure qu'il s'est retiré du jeu, doit avancer masqué et montrer pate blanche avant de pouvoir mettre la main à la pâte.
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