
Le profil d’Owen L., principal suspect dans le meurtre de Louise, 11 ans, se précise. Décrit comme un jeune homme violent et difficile à vivre, il évoluait pourtant dans une famille perçue comme "sans...
Entre 2000 avec Lionel Jospin et 2006 avec Dominique de Villepin comme Premiers ministres, c'est la quasi totalité des autoroutes françaises qui ont tour à tour été privatisées. Et depuis, tout le monde râle. Les sociétés qui les gèrent sont pointées du doigt pour le coût des péages ou le mauvais entretien des voies, l'Etat est accusé de s'en mettre plein les poches avec les taxes, et à cela il faut ajouter la (ré)pression des forces de l'ordre et des milliers de radars qui flashent à tout va.
Mais les autoroutes sont indispensables pour de nombreux usagers, particuliers comme professionnels, pour le tourisme et pour le commerce via la circulation des poids lourds, ce type de frêt étant très largement supérieur à celui passant par le rail. Ce qui n'empêche pas ces derniers d'utiliser massivement le réseau secondaire gratuit (nationales et départementales), ce qui cause de nombreux désagréments dans les villes et villages traversés. Et tout ceci ne changera pas en 2025, car l'année va être "riche" en nouveautés, rapporte Cnews.
La première nouveauté, les Français ont l'habitude, c'est l'augmentation généralisée des péages comme nous allons le voir, même si elle est plus faible qu'à l'accoutumée (ne réglez surtout pas avec ce moyen de paiement). La seconde, c'est le nombre de travaux à travers tout le pays qui vont perturber la circulation et dont certains vont durer jusqu'à la fin du troisième trimestre. Enfin, des tronçons vont être équipés de façon à mettre en place le fameux "flux libre", qui consistera à faire payer les péages aux automobilistes sans qu'ils aient à s'arrêter. Ce "pour des trajets plus fluides, plus sereins et plus écologiques" annonce le ministère de la Transition écologique. Mais sutout plus chers, donc.
Retrouvez l'ensemble des nouveautés déjà en place et à venir dans notre diaporama ci-dessous.