Politique
Communication, adaptabilité, vision d’ensemble ... Le thème astral de François Bayrou nous donne les prévisions des astres pour son début de mandat de Premier ministre. Stanislas Delorme, consultant intuitif,...
AFPPlusieurs métropoles, dont Paris, sont en sursis. Si les indicateurs épidémiologiques ne faiblissent pas, elles pourraient basculer dès la semaine prochaine en zone d'alerte maximale.
Un court répit ? Dans son point de situation hebdomadaire sur la lutte contre le Covid-19 en France, Olivier Véran a été formel : Paris et sa petite couronne seront placés lundi en état d’alerte maximale si la situation sanitaire se dégrade encore.
Il a en effet déclaré ce 1ᵉʳ octobre 2020 que les trois indicateurs épidémiologiques définissant un état d’alerte maximale ont été franchis "dans les dernières 24 heures" dans la capitale. Un nouveau point sera fait dimanche avec Anne Hidalgo.
"Nous avons besoin de le confirmer dans les tous prochains jours. Si cela devait se confirmer, nous n'aurions pas d'autres choix que de placer Paris et sa petite couronne en zone d'alerte maximale et ce dès lundi".
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Coronavirus : les interactions sociales pourraient être réduites "de manière drastique"
"En cas d'alerte maximale décrétée, les interactions sociales seront réduites de manière drastique", a précisé le ministre de la Santé. Les "fêtes de famille" et les "soirées" seront interdites et les bars seront fermés. Les restaurants pourraient toutefois être épargnés. Le gouvernement réfléchit à de nouvelles règles afin qu'ils puissent rester ouverts.
Les villes de Toulouse, Lille, Lyon, Grenoble et Saint-Etienne sont également particulièrement surveillées. "Si les mesures mises en place depuis le week-end ne produisent pas suffisamment d’effets, en particulier sur les taux d’occupation des lits en réanimation, nous serons amenés à faire basculer ces métropoles en zone d’alerte maximale", la semaine prochaine, a prévenu Olivier Véran.
