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Fini les révélations sur leur vie privée, l'ex-compagne de François Hollande aurait un nouvel angle d'attaque. Découvrez lequel.

Bientôt un an après la sortie de son livre-bombe Merci pour ce moment, Valérie Trierweiler semble vouloir changer de tactique dans la guerre qu’elle mène contre François Hollande. Exit les révélations croustillantes sur sa vie privée avec le président, l’ex-Première dame souhaiterait désormais l’attaquer sur un autre terrain.

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Elle l’attaque sur sa politiqueEn effet, on remarque que depuis quelques mois la journaliste de Paris Match a cessé de balancer des informations capables de nuire à l’image du président. Au lieu de ça, elle le pique à propos de son domaine de prédilection : celui de la politique. Après avoir affirmé que le chef de l’Etat "aime les frites" ou encore qu’il surnomme les pauvres "les sans-dents", Valérie Trierweiler s’en prend désormais à lui en commentant ses actions et celle de son équipe. "Hé Michel, au 21e siècle, les femmes ont le droit de s’exprimer. Et même les 3,5 millions de chômeurs", a-t-elle ainsi répondu sur Twitter au ministre du Travail Michel Sapin qui lui reprochait d’avoir écrit son livre. A plusieurs reprises, l’ex-Première dame a également commenté l’actualité :

Elle se dit "intéressée" par les idées de MélenchonJe ne lui ai "pas pardonné" et je "souffre de (le) voir tous les jours à la télé", avait-elle confié il y a quelques semaines à Femmes Actuelles, à propos de celui qui l’a remerciée en janvier 2014.  Mais au-delà de la femme blessée, se cache une femme fière qui souhaite se venger du président et de son entourage. "Je veux leur montre que je n’ai pas peur. Je ne cèderai pas à leurs intimidations", avait-elle également prévenu dans les colonnes du Parisien.  Aussi, Valérie Trierweiler, qui veut rester "une femme de gauche", se dit "intéressée" par les idées de Jean-Luc Mélenchon. Un véritable désaveu pour François Hollande que son ex-compagne justifie par son envie d’une "politique plus à gauche" et capable de "faire barrage au Front National ou à la droite" en 2017.