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La bataille judiciaire entre Laeticia Hallyday et les aînés de Johnny se poursuit. En attendant, le train de vie de la veuve a changé…

Le train de vie de Laeticia n’est plus le même

Nouveau rebondissement dans l’affaire de l’héritage de Johnny Hallyday après l'audience qui se tenait ce jeudi au tribunal du Nanterre. Les avocats de Laura Smet et David Hallyday assurent que Laeticia Hallyday refuse la médiation, ce que nie son conseil sur LCI. Le résultat cependant reste le même, une nouvelle audience, publique cette fois, aura lieu le 22 novembre. Toute nouvelle décision est donc repoussée à l’hiver prochain et cela n’est pas sans conséquence pour la veuve du taulier.

Depuis l’audience du 30 mars qui a gelé les biens de Johnny et qui lui interdit donc de vendre certaines propriétés entre autres choses, Laeticia Hallyday doit jongler avec les finances. Heureusement, la mère de Jade et Joy peut compter sur une petite source de revenus… Les royalties de son défunt mari. Comme le relève BFMTV, qui a interrogé une spécialiste de la propriété intellectuelle, la veuve de Johnny continue de percevoir un pourcentage sur la vente de disques, le streaming et d’une manière générale "toutes les exploitations qui passent par des maisons de disques". Toutefois, Laeticia Hallyday ne touche pas de droits d’auteur. 

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La Maserati de Johnny

Selon la presse people dont la chaîne d’informations en continu se fait l’écho, Laeticia Hallyday aurait été obligée de revoir son train de vie à la baisse. Pour preuve, en rentrant à Los Angeles après un voyage à Saint Barthélemy récemment, la veuve aurait été contrainte de prendre un vol régulier.

La rédactrice en chef de Voici, Marion Alombert assure même que dans le couple c’était Johnny le plus dépensier. Elle argue d’ailleurs que la veuve du taulier s’est résolue à rendre une Maserati que le rockeur avait en leasing. "On a une jeune femme qui est toujours en deuil. On imagine bien que dans ce genre de situation on ne va pas se dire: 'Je vais aller m’acheter une voiture'", commente-t-elle.