Les dix plus gros parachutes dorés de dirigeants français

Alors que l'ancien PDG de Vivarte, Marc Lelandais, a touché des indémnités s'élevant à 3 millions d'euros, Planet.fr vous donne l'occasion de revenir sur les dix plus gros parachutes dorés de France.

Daniel Bernard (Carrefour) : 38 millions d'euros

1/10
Daniel Bernard (Carrefour) : 38 millions d'euros

Un parachute doré est le nom donné à la prime de départ attribué au dirigeant d'une entreprise. Ces indémnités sont versées à la suite d'un licenciement ou d'un départ volontaire. L'ancien patron s'engage alors à respecter une clause de non-concurrence.

Philippe Jaffré (Elf) : 30 millions d'euros

2/10
Philippe Jaffré (Elf) : 30 millions d'euros

En 2005, l’ancien PDG du groupe Carrefour est parti avec une indemnité de 9,8 millions d’euros, ce qui correspond à trois années de salaire, ainsi que 29 millions d’euros de "retraite-chapeau". Cette somme astronomique avait alors fait polémique. 

Jean-Marie Messier (Vivendi Universal) : 20,5 millions d'euros

3/10
Jean-Marie Messier (Vivendi Universal) : 20,5 millions d'euros

En 2001, le PDG d'Elf a touché 10 millions d'euros au moment du rachat de la société par Total ainsi que 20 millions en stock-options. C'est le premier scandale dû à des parachutes dorés en France.

Antoine Zacharias (Vinci) : 13 millions d'euros

4/10
Antoine Zacharias (Vinci) : 13 millions d'euros

En 2002, le PDG de Vivendi est contraint de démissionner. Ses indémnités s'élèvent à 20,5 millions d'euros et font l'objet d'un contentieux judiciaire.

Noël Forgeard (EADS) : 8,5 millions d'euros

5/10
Noël Forgeard (EADS) : 8,5 millions d'euros

En 2007, l'ancien PDG le mieux rémunéré de France alors, part à la retraite en touchant 2,5 millions d'euros par an ainsi que 12 millions d'actions. En 2011, il a été condamné pour abus de pouvoir pendant qu'il était à la tête de Vinci.

Patricia Russo (Alcatel-Lucent) : 6 millions d'euros

6/10
Patricia Russo (Alcatel-Lucent) : 6 millions d'euros

En 2006, l'ancien co-président exécutif d'EADS est évincé du groupe à cause de retard dans la livraison de l'airbus A380. Il part avec 8,5 millions d'euros. Il sera soupçonné de délit d'initié et condamné dans l'affaire EADS en 2008.

Serge Tchuruk (Alcatel-Lucent) : 5,7 millions d'euros

7/10
Serge Tchuruk (Alcatel-Lucent) : 5,7 millions d'euros

En 2008, après la perte de 1,1 milliards par le groupe franco-américain, la PDG est obligée de quitter son poste. Patricia Russo part avec 6 millions d'euros, après avoir annoncé la suppression de 12 500 postes.

Serge Weinberg (PPR) : 5,3 millions d'euros

8/10
Serge Weinberg (PPR) : 5,3 millions d'euros

Evincé lui aussi du groupe la même année, le président du conseil d'administration part avec 5,7 millions d'euros.

Frank Esser (SFR) : 3,9 millions d'euros

9/10
Frank Esser (SFR) : 3,9 millions d'euros

En 2006, l'ancien président du groupe Pinault-Printemps-Redoute a empoché 5,3 millions d'euros au moment de quitter son poste. Il a ensuite été à la tête d'Accor puis de Sanofi-aventis.

Marc Lelandais (Vivarte) : 3 millions d'euros

10/10
Marc Lelandais (Vivarte) : 3 millions d'euros

En 2012, le patron franco-allemand de SFR quitte ses fonctions ne touchant une indémnité de 3,9 millions d'euros.

Brigitte Bardot, Marjane Satrapi... Ces personnalités qui ont refusé la Légion d'honneur

Brigitte Bardot, Marjane Satrapi... Ces personnalités qui ont refusé la Légion d'honneur
Voir un autre diaporama