Plus de 2000 bouteilles de “Sniper 1000” ont été saisies par les autorités depuis le début de l’année alors que sa commercialisation est interdite en France depuis 10 ans.
L'ex-compagne de François Hollande semble plus déterminée que jamais à se venger. Et à en croire les révélations de L'Express ce jeudi, Valérie Trierweiler serait même prête à dégainer les preuves des accusations qu'elle avance dans son brûlot qui, à peine sorti, s'est d'ores et déjà vu gratifier de "meilleur démarrage de l’année".
"Je ne veux pas qu'on puisse dire ou écrire que je me moque de la douleur sociale, car c'est un mensonge qui me blesse", s'était pourtant défendu le président de la République lors d'un entretien à propos de l'expression "sans-dents" que lui avait attribuée Valérie Trierweiler. Mais sa défense pourrait bien tomber à l'eau. En effet, celle qui a partagé la vie du chef de l'Etat pendant neuf ans a affirmé détenir des messages confirmant ses écrits dans Merci pour ce moment et... qu'elle était prête à s'en servir !
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Des propos diffamatoires ?
Si Valérie Trierweiler peut prouver certaines de ses accusations, ça ne serait pas le cas de toutes. En effet, selon une information du Nouvel Observateur relayée par Voici, des passages, entiers et mordants, concernant Ségolène Royal ont été supprimés du livre. Laurent Beccaria, patron des éditions des Arènes ainsi qu'Ana Jarota, agent de la journaliste mais aussi, l'éditeur Florent Massot et enfin Patrick de Saint-Exupéry, ancien grand reporter au Figaro, auraient été choqués par "les attaques à l’endroit de Ségolène Royal". Ils auraient même qualifié ces dernières de "diffamatoires". Il y en a donc à prendre mais aussi... à laisser !
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