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Dans un de ses éditos, le fils cadet de Nicolas Sarkozy s'en prend avec véhémence aux médias américains qu'il qualifie de "véritables machines de propagandes" trop libérales. 

Le fils de Nicolas Sarkozy est désormais éditorialiste pour un journal américain conservateur ! Alors qu'il est étudiant en philosophie et religion à l'Université de New York, le jeune homme de 20 ans écrit des tribunes pour le Washington Examiner depuis un mois.

Le plus jeune fils de Nicolas Sarkozy issu de son avec Cécilia Attias ne cache pas ses opinions penchant vers une droite clairement décomplexée. On le note dans plusieurs de ses articles sur la politique américaine. Parmi eux, on retrouve deux papiers intitulés "Comment la droite a perdu les millenials et les étudiants" ou encore "les médias sont indéniablement biaisés par leur bulle libérale".

"Est-il possible que le parti-pris des médias contre Trump ait été si influent qu'il a corrompu les esprits de milliers d'experts et laissé leurs propres opinions politiques affecter leur travail ? La réponse est indéniablement oui", assure le jeune homme. Dans ce même papier, il se présente en tant que "plus jeune fils de l'ancien président Nicolas Sarkozy".

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Si Nicolas Sarkozy n'a pas réagi à ses publications, sa mère Cécilia Attias n'a pas manqué d'en faire écho avec fierté en publiant un de ses articles sur son compte Twitter le 22 novembre dernier.

Comme le note RTL, Louis Sarkozy a déjà écrit trois éditos. Il accuse notamment les médias américains d'être trop libéraux et de "véritables machines de propagandes" anti-Trump. Il défend également le Britannique Milo Yiannopoulos, grand partisan de l'alt-right, équivalent de l'extrême-droite américaine, qui serait "réduit au silence par Twitter en raison de son supposé 'discours de haine'" selon le jeune éditorialiste.