Que vous soyez un passionné de numismatique ou un collectionneur aguerri, il est essentiel de savoir identifier les pièces de valeur. Voici quelques critères pour reconnaître une pièce de monnaie rare.
"Macron ne peut pas se permettre de se le mettre à dos", reconnaît Bernard Accoyer, ancien secrétaire général des Républicains (LR), qui fut aussi le président de l'Assemblée nationale, où il siège à présent en tant que député. Dans les colonnes du Temps, il évoque l'étrange relation qui lie Nicolas Sarkozy à l'homme qui aujourd'hui lui succède : le président de la République Française.
Il semble en effet que le chef de l'Etat ait tout à craindre de son prédécesseur. Quand bien même, affirme Bernard Accoyer, il n'envisagerait pas de se lancer de nouveau dans l'action. "Sarkozy a réussi son mandat, il a été battu par quelqu'un qui a échoué, il apparaît comme épanoui, il est heureux de vendre des livres. Je ne vois pas, en dehors de circonstances vraiment exceptionnelles, pourquoi il reviendrait", explique-t-il.
Peu importe : la seule présence de l'ancien patron des Républicains aux côtés d'Emmanuel Macron semble profiter au président plus qu'à ses rivaux… S'en faire un ennemi et le renvoyer auprès de sa famille historique ne serait, dès lors, qu'une très mauvaise idée. D'autant plus que d'autres anciens ami de l'ex-chef de l'Etat, le raisonnement ne tient pas.
Nicolas Sarkozy travaille-t-il à son retour ?
Aujourd'hui, Nicolas Sarkozy figure encore parmi les personnalités politiques préférées des Français, insiste le journal suisse. Il peut se vanter d'un solide 40% d'opinions favorables, qui lui assure une sixième place dans le classement Ipsos publié avant la sortie de son dernier ouvrage. Pour certains amis de l'homme fort de la droite, il n'en faut pas plus. "S'il peut revenir, il reviendra. Il ne s'interdira rien", assène en effet Nadine Morano qui "ne croit pas à la complicité" affichée entre l'ancien président et Emmanuel Macron, écrivent nos confrères.
Qu'en dit Nicolas Sarkozy ?
"Je ne suis plus un acteur de la vie politique", déclare pourtant Nicolas Sarkozy lui même, qui n'hésite pas à poursuivre : "Mes amis politiques doivent comprendre que mon rôle n'est plus de mener le combat". Une sortie sans ambiguïté qui, d'évidence, trahit l'intégralité de son état d'esprit. Vraiment ?
Non. Sans plus attendre, l'ancien chef de l'Etat - qui a déjà tourné le dos à la politique par le passé - n'exclut plus son potentiel retour aux manettes. "Je ne suis pas trop vieux, je suis encore dans le coup", assène-t-il sans hésitation. Et lui d'insister ensuite, prétextant avoir "autant d'énergie qu'à 40" ans, quand bien même il en a aujourd'hui 65, note Le Temps.
Des obstacles au retour de Nicolas Sarkozy ?
Si populaire puisse-t-il sembler, l'ancien président de la République pourrait cependant avoir du mal à revenir, estiment nos confrères cachés derrière les Alpes. Et pour cause ! Comme François Fillon avant lui, Nicolas Sarkozy devrait faire face à une campagne marquée par les affaires, s'il se lançait en 2022.
En effet : du 5 au 22 octobre 2020, il devra comparaître pour "corruption" ainsi que pour "trafic d'influence", rappelle le quotidien, qui souligne que l'homme politique est soupçonné dans le cadre d'une affaire d'écoutes téléphoniques. Plus tard, en 2021, il comparaîtra aussi dans une autre affaire. Cette fois, il est accusé de "financement illégal de campagne.