La technologie nécessaire au bon fonctionnement de la téléphonie mobile va entraîner une révolution : les anciennes fréquences 2G et 3G vont être délaissées par les opérateurs. Or, la connexion des alarmes...
Crèmes glacées, bâtonnets, mini pots... Amateurs de glaces, soyez vigilants : des dizaines et des dizaines de glaces font actuellement l'objet d'un rappel, selon le site spécialisé Rappel Conso. En septembre 2020, le Rapid Alert System for Food and Feed (RASFF) a tiré la sonnette d'alarme auprès des autorités sanitaires françaises. Un produit chimique, l'oxyde d'éthylène, a été détecté "à une teneur supérieure à la limite maximum réglementaire dans certains lots de graines de sésame importées".
Depuis, les contrôles de la Direction générale de la concurrence de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) ont déclaré que d'autres produits avaient également été potentiellement contaminés, à savoir des épices, des glaces... "Dans l’attente des résultats de ces investigations, les autorités sanitaires françaises ont pris, en coordination avec leurs homologues des États membres concernés, des mesures de retrait/rappel des produits contaminés. Les services de la DGCCRF veillent à leur mise en œuvre", précise le ministère de l'Economie, des Finances et de la Relance. Soyez donc extrêmement attentifs aux mesures de rappel lorsque vous faites vos courses, et lorsque vous vous apprêtez à consommer ou cuisiner l'un des aliments mentionnés. Dans notre diaporama, découvrez les glaces actuellement concernées par le rappel.
Que sait-on des dangers de l'oxyde d'éthylène ?
L'oxyde d'éthylène fait l'objet d'une tolérance zéro en Europe. Que sait-on vraiment de ses dangers ? Dans les colonnes de RTL, le professeur de toxicologie Alfred Bernard affirme que cette substance est "cancérogène chez l'homme par inhalation, surtout en milieu professionnel". En ce qui concerne les risques liés à l'ingestion, "on n'a que des données peu pertinentes chez l'animal exposé massivement. Des animaux qui ont développé après gavage des cancers au niveau d'un organe qui n'existe pas chez l'homme", poursuit le spécialiste.