La technologie nécessaire au bon fonctionnement de la téléphonie mobile va entraîner une révolution : les anciennes fréquences 2G et 3G vont être délaissées par les opérateurs. Or, la connexion des alarmes...
La mort d'Élisa Pilarski a bouleversé de nombreuses personnes. Certains internautes n’hésitent pas à se mobiliser depuis le décès de la jeune femme, qui était alors enceinte de six mois. Si le mystère demeure autour du drame, ils sont nombreux à vouloir aider ses proches et particulièrement son compagnon. Ce dernier, accablé par la douleur, a récemment pris la parole sur les réseaux sociaux pour faire passer un message.
Au moment de son décès, Élisa Pilarski était accompagnée de son chien Curtis, un American Staffordshire de deux ans, également blessé. Pris en charge par des vétérinaires, il se trouve désormais à la fourrière de Beauvais, où il fait l’objet d’une évaluation comportementale. Selon le compagnon d'Élisa Pilarski, un "incident indépendant du drame aurait entraîné une procédure de chien mordeur".
Une pétition adressée au procureur de la République
C’est pour lui venir en aide qu’il a décidé de prendre un avocat "engagé dans la cause animale". Avec ses proches, ils ont décidé d’en appeler à la générosité des internautes par la création d’une cagnotte en ligne, notamment pour payer les frais d’avocat. Après avoir donné sur Facebook le lien de cette cagnotte, le compagnon d'Élisa Pilarski s’est senti obligé de mettre les choses au clair. Peu de temps après le drame, une pétition avait été lancée pour "sauver" Curtis, alors qu’une rumeur courait sur une possible euthanasie. Clôturée à la fin du mois de décembre, elle avait récolté plus de 99 200 signatures.
Une seconde pétition a été ouverte par la même personne, cette fois intitulée "Urgence vitale pour Curtis" et qui reprend les propos du compagnon de la victime. Une autre pétition existe également, dont une adressée directement au procureur de la République de Soissons et qui demande à ce que le chien soit "libéré" de la fourrière. À ce sujet, le compagnon d'Élisa Pilarski a tenu à passer un message : "Concernant les pétitions qui circulent, encore une fois merci pour votre mobilisation, mais je vous demande à tous de rester simples, ne pas écrire de lettre à qui que ce soit sans notre consentement".
S’il tient à remercier les internautes pour leur mobilisation, il rappelle également que la cagnotte a, elle, été lancée avec "[s]on accord, dans un but bienveillant". Plus d’une semaine après sa création, près de 5 000 euros ont été récoltés, bien au-delà des 3 500 euros demandés. "Cet élan de solidarité nous touche en ces temps difficiles et je remercie toutes les personnes mobilisées", conclut le compagnon de la jeune femme.