La technologie nécessaire au bon fonctionnement de la téléphonie mobile va entraîner une révolution : les anciennes fréquences 2G et 3G vont être délaissées par les opérateurs. Or, la connexion des alarmes...
Elle bat les records. Marine Le Pen peut actuellement se vanter de son extrême popularité. D’après un récent sondage TNS Sofrès pour Le Figaro Magazine, la présidente du Front National se positionne sur la première marche du podium des personnalités politiques que les Français souhaitent voir jouer un rôle. Forte de ce positionnement, la patronne du parti d’extrême droite devance ainsi Alain Juppé et Christine Lagarde. En pôle position, Marine Le Pen doit toutefois partager la vedette avec François Fillon.
Tous les deux sont arrivés ex-aequo. Cet incroyable popularité est notamment due à la grande progression de la présidente du FN chez les sympathisants UMP (+7 points). Et tandis qu’a contrario, François Hollande n’en finit pas de dégringoler dans les sondages avec un capital confiance de seulement 23%, la fille de Jean-Marie Le Pen a même réussi à progresser d’un point chez les sympathisants PS.
"Le FN est probablement le premier parti de France"
Alors que les élections municipales approchent à grands pas, Marine Le Pen se montre très confiante, sans doute boostée par ces récents chiffres. "Il y a une multitude de sondages d’opinion qui démontre que le Front National est dans une très grande dynamique. Nous attendons par conséquent et nous nous préparons aux échéances électorales qui démontreront que le FN est aujourd’hui probablement le premier parti de France", a estimé Marine Le Pen sur BFM TV jeudi soir.
Une assurance qui dénote quelque des propos qu’elle a tenus fin septembre, soit quelques jours avant la publication du sondage TNS Sofres. "Ces élections sont difficiles pour le Front national", avait-elle alors confié avant d’expliquer que son parti "a toujours eu du mal à s’implanter localement". Pour contrer cette forte progression qui menace son parti, Jean-Christophe Cambadélis, le secrétaire national du PS à l’international a de son côté appelé "à dresser un mur citoyen".