Ce "Girl's club" dans lequel Brigitte Macron a été invitéeAFP
La Première dame a par le passé été invitée à rejoindre un groupe d'ambassadrices. Les faits remontent à 2017.

Vous ne le saviez peut-être pas, mais Brigitte Macron a été invitée à rejoindre un "Girl's club", ou presque. En 2017, alors qu'Emmanuel Macron vient tout juste d'être élu, son épouse est en effet approchée par plusieurs femmes de renom, dont une certaine Veronika Wand-Danielsson, qui raconte à Paris-Match son expérience. Cette femme n'est pas n'importe qui : il s'agit d'une ancienne ministre conseillère Suédoise, devenue par la suite ambassadrice de Suède en France.

A son arrivée dans l'Hexagone, en 2015, elle fonde un réseau de femme diplomate à l'aide de sa "collègue irlandaise". L'idée ? "Échanger nos expériences", explique-t-elle. Mais aussi "mieux connaître la France". Elle parle d'ailleurs d'un outil qu'elle décrit comme "un peu à l'image des ‘boy's clubs' où les hommes se retrouvent entre eux".

"Nous ne le faisons pas seulement pour nous rencontrer, mais aussi pour nous ouvrir aux femmes françaises venant de secteurs différents, comme Clara Gaymard, Anne Hidalgo, Marlène Schiappa, Anne Sinclair…", poursuit-elle dans les colonnes du magazine. Et plus tard, une ancienne institutrice devenue Première dame.

Brigitte Macron a bel et bien été reçue par le "Réseau des femmes ambassadeurs"

"Lorsque, en mai 2017, Emmanuel Macron arrive au pouvoir, nous devinons très vite que son épouse, Brigitte, sera une Première dame à part entière", explique-t-elle. C'est pourquoi elle l'invite intégrer le groupe - après tout, Brigitte Macron n'a-t-elle pas un rôle d'ambassadrice de la France, explique-t-elle - à l'occasion de la "traditionnelle cérémonie à l'hôtel de ville de Paris".

Invitation que Brigitte Macron accepte. Elle rejoint d'ailleurs le réseau le 17 octobre de la même année et les femmes "toutes en admiration" auront plusieurs fois l'occasion de discuter. De sujets de sociétés, comme l'avancée du droit des femmes au cours du quinquennat de son époux, par exemple… Le "sérieux des sujets", cependant, "n'empêche pas une solidarité joyeuse", explique Veronika Wand-Danielsson.