Singer Elon Musk et donner à un enfant un prénom composé de lettres ou de chiffres ? Ce ne sera sans doute pas possible en France. Voici un liste de noms insolites qui ne passeront pas devant un officier d'état...
La mésentente entre Valérie Trierweiler et Nicolas Sarkozy ne date pas d’hier. Dans son livre paru au début du mois, Nicolas Sarkozy, sa vie après l’Elysée, Patrice Machuret revient en effet sur l’origine de ces rapports tendus. Selon le journaliste de France 3, la raison serait à aller chercher bien au-delà des clivages politiques, dans la sphère privée. Comme il l’avait déjà évoqué dans son premier ouvrage consacré à l’ancien chef de l’Etat, L’enfant terrible, la vie à l’Elysée sous Nicolas Sarkozy (2007), Patrice Machuret explique que tout serait parti de la garden party organisée il y sept ans au Palais présidentiel. "La Première dame (ndlr, Valérie Trierweiler) ne l'avouera pas, mais son aversion pour Nicolas Sarkozy a des origines plus personnelles", affirme-t-il avant de préciser : "Sarkozy lui aurait fait du rentre-dedans (…) À l'oreille Nicolas Sarkozy lui aurait murmuré : 'Tu es belle il faudrait qu'on se voie'". Et l’auteur du livre d’ajouter que Valérie Trierweiler lui aurait ensuite non seulement répondu par la négative mais l’aurait également traité de "goujat".
Nicolas Sarkozy se serait moqué du look de Valérie TrierweilerEt si l’entourage de Nicolas Sarkozy dément formellement cet épisode, mettant notamment en avant le fait que "Valérie Trierweiler n’est absolument pas le genre de femmes de l’ancien président", Patrice Machuret persiste et signe. Dans son dernier ouvrage, le journaliste de France 3 cite même un nouvel exemple de leur mésentente, plus récent cette fois-ci. D’après lui, l’ancien président se serait moqué de la tenue que portait l’ex-compagne de François Hollande lors des obsèques de Nelson Mandela en décembre dernier. "Nicolas Sarkozy se moquera même de la tenue de celle-ci, large chapeau noir et longue écharpe rouge, auprès de ses proches : ‘Il y avait en fait trois présidents français à Johannesbourg pour l'enterrement de Nelson Mandela, François Hollande, moi et François Mitterrand’ ", rapporte en effet Patrice Machuret.