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Certains hommes politiques ont été mal à l'aise à cause d'un parent ou de leur conjoint qui s'est répandu sur la place publique...
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Françoise Valter, la mère du nouveau secrétaire d’Etat, Clotilde Valter

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Tout juste nommée secrétaire d’Etat dans le gouvernement de Manuel Valls, Clotilde Valter s’est fait remarquer… à cause de sa mère, Françoise Valter. Celle-ci a lancé un commentaire ironique au sujet du voyage polémique du Premier ministre à Berlin, au journal La Voix du Nord. "Ce n’est pas elle qui va prendre l’avion pour aller voir un match de foot", a-t-elle ainsi déclaré, provoquant, on l’imagine, quelques rougeurs à sa fille en apprenant la sortie de sa mère.

Xavier Cantat, le compagnon de Cécile Duflot

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Souvenez-vous, c’était durant l’année 2013, Xavier Cantat, le compagnon de Cécile Duflot et frère du chanteur de Noir désir, Bertrand Cantat, enchaînait les tweets provocateurs à l’égard du gouvernement dont l’ancienne patronne des Verts faisait partie. Un tweet avait particulièrement retenu l’attention, celui où Xavier Cantat comparait le défilé du 14 juillet à "un défilé de bottes". Prise à partie à l’Assemblée à cause de cette déclaration de son compagnon, Cécile Duflot avait pleuré sur les bancs de l’hémicycle.

Valérie Trierweiler, ex-Première dame

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Quelques jours après l’élection de François Hollande à l’Elysée, lors des élections législatives en juin, la compagne du président, Valérie Trierweiler, a fait elle aussi un tweet remarqué.

Le contexte était le suivant : Ségolène Royal, ancienne femme de François Hollande, se présentait face à Olivier Falorni, candidat PS dissident, pour le poste de député en Charente-Maritime. Mais quelques heures après que Ségolène Royal a annoncé avoir reçu le soutien du président, Valérie Trierweiler envoyait un tweet de soutien à l’égard de son concurrent.

"Courage à Olivier Falconi qui n’a pas démérité, qui se bat aux côtés des Rochelais depuis tant d’années dans un engagement désintéressé.", avait-elle écrit, provoquant de vives réactions au PS et à l’Elysée.

Anne Gravoin, épouse de Manuel Valls

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Toujours en juin de cette même année 2012, soit au moment de l’élection à l’Elysée de François Hollande et quelques jours seulement après la nomination de Manuel Valls à l’Intérieur, dans le gouvernement de Jean-Marc Ayrault. C’est à ce moment-là qu’Anne Gravoin, violoniste et femme de Manuel Valls, lance un petit tacle à l’égard de la femme du Premier ministre. "C’est sûr qu’une musicienne c’est un peu plus glamour que Mme Ayrault, prof d’allemand dans la banlieue de Nantes !", a-t-elle lancé.

Roland Delannon, l’ex-mari de Christiane Taubira

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Christiane Taubira ne s’épanche généralement pas beaucoup sur sa vie privée, mais elle a été en couple avec un certain Roland Delannon qu’elle a connu en Guyane, durant les années 1970. Celui-ci était à la tête du MOGUYDE, un mouvement indépendantiste guyanais que Christiane Taubira finira par rejoindre.  Mais le mouvement se radicalise, les forçant à vivre dans la clandestinité. Un jour, Roland Delannon est soupçonné d’avoir fomenté un attentat contre des installations pétrolières. Il est emprisonné pendant un an. Christiane Taubira ne quitte alors pas son mari, mais en 1998, le couple vole en éclat après que Roland Delannon a décidé de se présenter sur une liste dissidente pour les législatives.

Bernadette Chirac, fervente soutien de Nicolas Sarkozy

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Contrairement à son mari, Jacques Chirac, Bernadette Chirac n’apprécie guère Alain Juppé, et ne manque pas de le faire savoir en le qualifiant "d’homme froid". En novembre 2014, elle l’avait même ostensiblement snobé lors de la remise annuelle des prix de la fondation qui porte son nom. Il faut dire que les Chirac se livrent une petite guerre au sujet de leur poulain, Madame préférant Nicolas Sarkozy, Monsieur, Alain Juppé, son "fils spirituel".

Carla Bruni, chanteuse engagée

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La chanteuse Carla Bruni, anciennement Première dame de France du temps du règne de Nicolas Sarkozy, a sorti un album en avril 2013 dont l’un des titres, Le Pingouin, a fait sensation. Voici l’air : "Il prend son petit air souverain/Mais j'le connais, moi, l'pingouin/N'a pas de manières de châtelain/Hé, le pingouin ! Si un jour tu recroises mon chemin/Je t'apprendrai, le pingouin, je t'apprendrai à me faire le baisemain."

D’aucuns y ont vu une allusion à François Hollande qui ne s’était pas montré très affable avec le couple Sarkozy au moment de la passion de pouvoirs. Selon une journaliste du Point, François Hollande aurait cependant pris la chose à la rigolade.