Nadine Morano en deuil : son fils de 33 ans retrouvé mort à son domicile

Publié par Alice Ernult
le 25/07/2024
la ministre déléguée à la famille, nadine morano et son fils grégoire assistent au 11ème gala de la presse au profit de l'ong 'action innocence' au cirque phenix à paris, france, le 9 janvier 2009 photo by giancarlo gorassini abacapresscom
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Le fils de la députée européenne Nadine Morano, Grégoire, a été retrouvé mort à son domicile à Nancy ce mardi 23 juillet 2024.

Selon les révélations du magazine people Public, Grégoire Morano, âgé de 33 ans, a été retrouvé mort à son domicile peu après 12h, le mardi 23 juillet. Une information confirmée par une source proche du dossier auprès de Lorraine Actu.

C’est son père, inquiet de ne pas avoir de nouvelles de son fils depuis plusieurs jours, qui s’est rendu au domicile du trentenaire situé à Nancy. Sur place, il est parvenu à pénétrer dans l’appartement par une fenêtre restée ouverte et a découvert le corps inerte de Grégoire sur son lit.

Angelo Morano a pratiqué un massage cardiaque jusqu’à l'arrivée des sapeurs-pompiers et du SAMU, qui n’ont pas réussi à le ramener à la vie

Les causes du décès encore floues 

Les secours ont déclaré le trentenaire décédé sur place. Si les causes de sa mort ne sont pour l’instant pas clairement identifiées, le médecin du SAMU a remis un certificat de décès avec obstacle médico-légal. Ce document concerne généralement les suicides ou les décès suspects comme l’explique le Conseil national de l’Ordre des médecins. Le décès du fils de la femme politique a ainsi été signalé aux autorités judiciaires en attendant des examens complémentaires pour déterminer la cause précise de sa mort. 

En janvier 2024, Grégoire Morano avait été condamné à huit mois de prison avec sursis par le tribunal correctionnel de Nancy après avoir percuté un poids-lourd sur la bretelle d’accès de l’A31 à Dommartin-lès-Toul.

Il avait pris la fuite avant d’être interpellé et avait été testé positif aux stupéfiants. Le tribunal l’avait condamné à suivre des soins en addictologie en plus d’une obligation de travailler ou de suivre une formation. Grégoire Morano ne s’était pas présenté au Tribunal, excusé par son avocat parisien qui avait expliqué que son client n'était pas en état psychologique de comparaître.

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