La technologie nécessaire au bon fonctionnement de la téléphonie mobile va entraîner une révolution : les anciennes fréquences 2G et 3G vont être délaissées par les opérateurs. Or, la connexion des alarmes...
Une bien étrange découverte qui pourrait permettre de relancer plusieurs enquêtes. Plusieurs ossements ont récemment été repêchés au large d’Antibes (Alpes-Maritimes). Parmi eux, des os, des morceaux d’os et même un crâne portant l’inscription "mort au pédophile". Selon les premiers éléments recueillis, tous ces restes humains ne proviendraient pas d’un seul et même corps mais de ceux de différentes personnes. Et alors que l’identité de ces dernières reste encore à déterminer, il se pourrait qu’un bout d’os appartienne à Stéphane Hirson, un jeune de 17 ans porté disparu depuis 1994 en Seine-et-Marne. Les ossements ont été "retrouvés en mer, à proximité du rivage, à l'aplomb d'un chemin côtier", a précisé Christian Girard, le procureur de Meaux (Seine-et-Marne) avant d’indiquer : "de l’ADN a été prélevé sur la mère, et une comparaison génétique (avec l’os) n’exclurait pas un lien" avec elle.
"J’ai toujours eu espoir pendant 20 ans, qu’il soit vivant"Blond aux yeux bleus, Stéphane Hirson n’a pas donné signe de vie depuis le 11 février 1994. L’adolescent avait alors quitté le domicile familial pour se rendre avec un ami à l’ANPE. Il n’avait pourtant pris aucun papier ni argent avec lui. "Maintenant la priorité c'est de savoir si c'est sûr qu'il s'agit de Stéphane, puis de retrouver le corps pour qu'on puisse l'enterrer, faire une cérémonie. C'est vraiment difficile, j'ai toujours eu espoir, pendant 20 ans, qu'il soit vivant", a quant à elle confié la cousine du jeune disparu, Valérie Cormier Magraner. Le parquet de Meaux s’est par ailleurs dessaisi de l’affaire au profit des juges de Grasse.
Dans les jours à venir, les enquêteurs vont également s’atteler à identifier les autres ossements récemment retrouvés, et notamment le crâne portant la mystérieuse inscription.