Arnaques par SMS : les 5 messages frauduleux à ne pas ouvrir en ce moment

Un simple clic et vous avez de gros problèmes. Ces derniers mois, les arnaques par SMS se multiplient sur les téléphones des Français et certains sont des proies faciles, tombant facilement dans le panneau. Sur son site, le Service public met en garde contre "le phishing" ou "hameçonnage", qui "consite à récupérer vos données personnelles par la tromperie, puis à les utiliser de manière malveillante, par exemple pour faire des achats". Vous en avez forcément reçus sur votre boîte mail ou votre messagerie, peut-être même sans y avoir fait attention. 

Phishing : comment s'en protéger ?

Si ces escroqueries sont si efficaces, c'est parce que leurs auteurs se font passer pour des organismes officiels ou familiers, comme votre banque, les impôts, la CAF ou l'Assurance maladie. Des entités qui, en plus, pourraient logiquement demander l'accès à certaines de vos informations personnelles. Pour ne pas tomber dans le piège du phishing, il est important de respecter certaines règles de bon sens. 

• Méfiez-vous des messages alarmistes, avec une notion d'urgences pour effectuer une démarche. C'est généralement le premier signe que quelque chos en'est pas normal. 
• Ne cliquez jamais sur le lien envoyé par SMS. Si vous voulez vous rendre sur votre compte CAF ou Ameli par exemple, faites-le directement depuis Google, en tapant votre recherche. 
• Ne renseignez jamais vos coordonnées bancaires sur un site dont vous ne connaissez ni la provenance ni l'origine. 
• Ne répondez jamais au message qu'on vous a envoyé

Selon le site du Service public, il est également important de garder à l'esprit qu'"aucune administration ou société ne demande vos données bancaires ou votre mot de passe". Votre conseiller bancaire par exemple, s'il vous appelle, n'exigera jamais de connaître le code secret de votre carte bleue. Il est en est de même pour la CAF, l'Assurance maladie ou les impôts. 

Vidéo du jour

Retenez bien ces conseils, car plusieurs arnaques circulent actuellement par SMS. Ces derniers jours, une journaliste de la rédaction en a reçu plusieurs donc soyez prudent et consultez la liste ci-dessous pour ne pas tomber dans le piège.