A compter du 1er mai, de nombreux changements vont entrer en vigueur. Smic, prix du gaz, CPF... Planet fait le point sur ces nouveautés dans le quotidien des Français.
Après une séparation, quels sont vos droits sur la pension de réversion de votre ex-mari ? Une experte fait le point.
Moins de la moitié des personnes en perte d’autonomie est aidée par une aide professionnelle : ce sont souvent les proches qui occupent ce rôle, non sans rencontrer certaines difficultés. Et si tout ça pouvait...
Sa montre de poche en or 14 carats a été adjugée à plus d’1 million d’euros. John Jacob Astor est l’une des plus célèbres et plus riches victimes du naufrage du Titanic. Mais qui était-il ?
L’été qui approche, même s’il ne se fait pas encore ressentir dans les températures, pourrait vous donner envie de faire construire votre piscine. Voici les conseils d’un expert pour éviter les écueils...
Le 27 avril 2024, Patrice Laffont avait évoqué son étonnante situation financière dans l'émission "Télé, ton univers impitoyable" sur C8. L'animateur a révélé qu'il avait dépensé tout son argent.
Réduire le déficit, et vite. Face à un déficit public qui devrait s’élever à 5,5% du Produit intérieur brut (PIB), soit 154 milliards d’euros selon l’évaluation de l’Insee, au lieu du chiffre de 4,9% initialement prévu, le gouvernement est sous pression.
Suite à ces annonces, le ministre de l’Économie et des Finances Bruno Lemaire a assuré qu’il était « déterminé » à repasser sous la barre des 3% d’ici 2027. Plusieurs pistes sont envisagées pour tenter d’y parvenir.
La pression se révèle d’autant plus forte que la France se trouve dans la ligne de mire des agences de notation, qui donnent le « ton » aux marchés. La note de la France risque en effet de se voir dégradée, ce qui rendrait son endettement encore plus coûteux. Ainsi l’agence Moody’s a estimé « peu vraisemblable » la perspective de réduire le déficit public à 2,7% du PIB d’ici 2027, comme le rapporte l’agence Reuters citée par les Échos.
Cette information rappelle combien il peut être compliqué pour un gouvernement de trouver des sources de revenus. Aussi, sur un plan bien plus léger, c’est l’occasion de se pencher (voir le diaporama ci-dessous) sur ces taxes et impôts aussi farfelus qu’improbables qui ont existé dans l’histoire ou existent encore dans le monde.
Cependant, point n’est besoin de trop s’inquiéter à voir revenir certaines d’entre elles : si les recommandations de la Cour des comptes sont suivies, l’heure serait plutôt à la suppression des « taxes à faible rendement ».
Au XIXe siècle et jusqu'au début du XXe siècle en France, la détention d'un piano impliquait une redevance de 10 francs.
Dans l'État du Kansas, aux États-Unis, plusieurs loisirs font l'objet de taxes, mais les vols en aéronefs en sont exemptés. Alors pour régler la question, seules les montgolfières de loisirs attachées sont taxées, comme l'indique par exemple cet institut consacré à l'économiste John Locke.
Plusieurs empereurs romains ont taxé l'urine, source d'ammoniac utilisée pour fixer la teinture. Le célèbre empereur vespasien fut l'un d'eux, connu entre autres pour avoir rétorqué à son fils qui tiquait que "l'argent n'a pas d'odeur" (c'est d'ailleurs de son nom que fut tiré le terme de "vespasienne" pour désigner des urinoirs publics pour hommes).
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