SociétéLe Petit-Larousse intègre 150 nouveaux mots
L'édition 2025 a opéré à sa sélection annuelle et intègre 150 nouveaux mots qui reflètent les maux de la société et les évolutions en cours.
IllustrationIstockLe mois de mars 2020, qui approche à grand pas, apporte avec lui de nombreux changements. Découvrez ce qui bouge dans votre quotidien dès la fin du mois de février.
Tout ce qui change au 1er mars : hausse du prix du tabac
Mauvaise nouvelle pour le portefeuille des fumeurs. Le gouvernement l'a annoncé mardi 11 février 2020 par arrêté ministériel : le prix du tabac va encore augmenter. Ainsi, les taxes augmentent de 50 centimes à partir du 1er mars 2020, annonce le site spécialisé Santé Magazine.
Dans le cadre de son plan de lutte contre le tabagisme, le gouvernement décide alors de rehausser les prix des cigarettes, mais aussi des cigares, des cigarillos et du tabac à rouler. Le site détaille même le futur prix de plusieurs marques leader sur le marché du tabac.
Ainsi, le paquet de Marlboro, qui représente à lui seul 26% du marché français, passera de 9,30 à 10 euros, à partir du premier mars. Le paquet de Philip Morris prendra lui aussi 70 centimes pour passer de 9,10 à 9,80 euros. Légèrement moins chers, les Lucky Strike et les Winston plafonnent à 9,50 euros.
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Tout ce qui change au 1er mars : baisse des tarifs réglementés du gaz
La Commission de régulation de l'énergie (CRE), a annoncé que les tarifs réglementés hors taxe d'Engie vont baisser à compter du 1er mars 2020, par rapport au barème en vigueur applicable depuis le 1er février 2020.
Mieux vivre votre argent détaille les chiffres de la baisse des prix. Ainsi, elle sera de :
- 1,2% pour les clients qui utilisent le gaz pour la cuisson,
- 2,7% pour ceux qui utilisent le gaz pour la cuisson et l'eau chaude
- 4,8% pour les foyers qui se chauffent au gaz.
Le site précise que les tarifs réglementés d'Engie concernent encore 4 millions de foyers en France. Mais ces tarifs ne sont plus commercialisés depuis le 20 novembre 2019, indique-t-il également. Par ailleurs, ces tarifs sont voués à disparaître puisque les contrats existants prendront fin le 1er décembre 2020 pour les clients professionnels et le 30 juin 2023 pour les particuliers.
Tout ce qui change au 1er mars : un nouveau permis moto
La réforme du permis moto, prévue depuis près d'un an, entre en vigueur le 1er mars 2020. Ainsi, afin d'améliorer la qualité de formation des usagers, il faudra désormais passer son "code moto". Le candidat devrait donc valider un nouveau test : l'examen théorique motocycliste (ETM), explique la plateforme de comparateur d'assurances Lelynx.fr.
Le site précise qu'il faudra maintenant répondre à 40 questions sur 8 thèmes différents, pour obtenir son diplôme. Il faut compléter 35 bonnes réponses afin de valider cet examen pour une durée de 5 ans.
L'épreuve qui se déroule hors circulation, appelée "le plateau", change également. En effet, l'examen autrefois décomposé en plusieurs parties se déroulera en une seule fois, à partir du 1er mars. La durée de l'épreuve en circulation passe elle de 20 à 40 minutes et il faudra désormais obtenir 21 points sur 31, au lieu de 17. La nouvelle version du permis moto devrait donc être plus difficile à obtenir.
Tout ce qui change au 1er mars : nouveau seuil pour le malus écologique
Le malus écologique c'est quoi ? "Il s'agit d'une taxe due lors de la première immatriculation d'un véhicule. Il vise à inciter les acheteurs à favoriser l'achat des véhicules moins polluants. En effet, plus le véhicule est polluant, plus la taxe est élevée", explique le ministère de l'Économie sur son site.
Le nouveau barème du malus écologique entre ainsi en vigueur le 1er mars 2020, annonce le site spécialisé Autoplus. Alors que ce dernier avait été abaissé à 110 g de CO2/km au 1er janvier 2020, il va cette fois-ci être relevé à hauteur de 138 g/km.
S'il augmente à chaque gramme par kilomètre, le malus minimum pour l'achat d'un véhicule polluant reste de 50 euros. Il peut toutefois monter en flèche si la voiture pollue beaucoup. Ainsi, pour un engin dont les émissions de CO2 sont supérieures à 212 g/km, le montant du malus s'élève à 20 000 euros.
