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Mort d’Emile : de nouvelles expertises ADN en cours abacapress
Près d'un an après la découverte des ossements du petit Emile, disparu le 8 juillet 2023, de nouvelles expertises ADN ont été demandées.

Alors que l’inhumation du petit Emile Soleil se tiendra le 8 février prochain, à La Bouilladisse, dans le caveau familial, de nouvelles expertises ADN ont été demandées. Le Laboratoire d'Hématologie Médico-légale (LHML) de Bordeaux, dirigé par le professeur Christian Doutremepuich, a été de nouveau sollicité pour mener des analyses approfondies.  

Dès le début des investigations, des experts en ADN, dont le professeur Doutremepuich, avaient analysé les vêtements et ossements de l'enfant. Lors de ces premières expertises, des traces ADN étrangères à celles de la famille ont été détectées, mais cette information n’a jamais été officiellement confirmée.

"Il y a des hypothèses écartées et celles qui sont approfondies”

Selon des sources proches de l'enquête, "ces nouvelles expertises devraient se faire assez rapidement". Bien que cette avancée suscite de l'espoir, la situation reste floue. En effet, certaines hypothèses sur l'origine des traces ADN pourraient être écartées, tandis que d'autres continuent d’être approfondies. Le cadre de l'enquête, sans preuves concrètes, rend l’interprétation des résultats ADN délicate. 

"Rien ne change. S'il y avait des choses déterminantes, nous aurions des phases opérationnelles lourdes. Ce n'est pas le cas. Les enquêteurs sont toujours dans les vérifications, contre-vérifications, les survérifications", explique une source, rapporte Femme Actuelle. "Il y a des hypothèses écartées et celles qui sont approfondies. Les gendarmes continuent d'enquêter et d'investiguer en sollicitant d'autres expertises, dont ce laboratoire, c'est normal."

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Si l’obtention d’une trace ADN décisive pourrait faire basculer l’affaire, il reste néanmoins un risque que les résultats soient compromis par la manipulation des éléments de preuve.