Fortune, salaire, villa… La vie hors norme des entraîneurs de footAFP
A moins de dix jours du coup d'envoi de la Coupe du monde de football 2018, tous les projecteurs sont de nouveau tournés vers les joueurs, mais aussi vers leurs illustres entraîneurs (au train de vie parfois démesurés).
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Fortune de Zinedine Zidane : bientôt 200 millions d’euros en poche ?

Alors que les spéculations vont bon train quant aux projets de carrière de l’ex-coach du Real Madrid, ce qui est certain, en revanche, ce sont les cachets que Zinedine Zidane percevaient depuis qu’il en avait pris la gouvernance en janvier 2016. Contrairement à ses prédécesseurs qui, de leurs côtés, étaient parvenus à négocier des salaires par saison portés à 4,35 millions d’euros, souligne Sportune, notre Zizou national a, lui, eu le privilège d’empocher près de 8 millions d’euros par saison en tant qu’entraîneur du Real Madrid. 

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Seulement voilà, son départ est loin d’être passé inaperçu. Il se murmure, ainsi, que le Marseillais aurait été approché par la sélection du Qatar pour un contrat de quatre années. A la clé ? Des revenus financiers colossaux qui pourraient atteindre les 50 millions d’euros par an, soit 200 millions d’euros au total.

Coté patrimoine, il résiderait, entouré de sa famille, dans le nord de Madrid depuis quatre ans. Une maison blanche avec musique, jardin et, bien entendu, un terrain de foot. 

Fortune de Didier Deschamps : 3,4 millions d’euros chaque année

Il battra bientôt le record du nombre de matchs disputés à la tête de l’équipe de France de football (plus de 70)… Didier Deschamps s’inscrit, indéniablement, dans la durée et devrait, sauf catastrophe, occuper ses fonctions de sélectionneur encore quelques années… 

De fait, tel que le souligne le site Sportune, les salaires qu’il perçoit en qualité de sélectionneur seraient portés à 3,4 millions d’euros bruts par saison. Et côté patrimoine, il aurait posé ses valises dans au moins trois demeures. L’une située à Concarneau sur la Corniche, l’autre à Cap d’Ail dans les Alpes Maritimes et une dernière à Cassis dans les Bouches-du-Rhône. Il y passerait, au demeurant, le plus clair de son temps lorsqu’il ne supervise pas l’équipe de France. 

En 2013 déjà, il avait indiqué au JDD y couler des jours heureux mais surtout y mener une vie ordinaire. 

Fortune de Rudi Garcia : une approche payante

L’actuel entraîneur de l’Olympique de Marseille a le privilège, à l’instar des autres dignes représentants de sa profession en Ligue 1, de percevoir un salaire mensuel plus que confortable. De fait, il est passé en 2017 de 160 000 euros bruts par mois à 250 000 euros. Ce qui, très concrètement, implique qu’il pourrait percevoir près de 3 millions d’euros chaque année. 

Décrit comme perfectionniste au caractère "double face", il avait, tel que le rappelle Challenges, pourtant très tôt indiqué qu’il ne serait "jamais entraîneur".  "C’est trop prenant, c'est trop ingrat", clamait-il déjà à 26 ans lorsqu’il était encore joueur. Il vient, pourtant, de mener l'OM en finale de l’Europa League. Une fonction qui, tel que le souligne Challenges, lui aurait toujours été prédestinée compte tenu de sa volonté constante de poser des questions et de son leadership naturel. 

Fortune d’Arsène Wenger : une progression plus que lucrative

Arsène Wenger est connu, Arsène Wenger est un illustre représentant français du monde sportif à l’étranger, mais Arsène Wenger a surtout la chance d’être considéré comme l’une des personnalités du sport en activité les plus riches au Royaume-Uni. Et s’il vient tout juste de quitter ses fonctions d’entraîneur à la tête d’Arsenal (fonctions qu’il occupait depuis 1996), il n’en demeure pas moins qu’il était parvenu à négocier ces dernières années et ce, pour chaque saison, la modique somme de 8 millions de livres (9,1 millions d’euros).

Une très lucrative progression depuis son arrivée en 1996, précise Sportune. Ce, dans la mesure où, à l’époque, en tant qu’entraîneur fraîchement promu, il ne percevait "que", 500 000 livres par saison. Soit environ 575 000 euros. 

Aujourd’hui, l’Alsacien vit non loin de Londres, dans l’une des banlieues les plus chères d’Angleterre et, non accessoirement, dans une sublime demeure de 10 millions de livres (13,5 millions d'euros) qu'il a fait construire.

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