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Valérie Trierweiler aurait récemment refusé le don que le magazine Closer lui aurait proposé pour l'association qu'elle défend. L'ex-compagne de François Hollande n'aurait toujours pas digéré les révélations du magazine sur la prétendue liaison du président et de l'actrice Julie Gayet.

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Bientôt deux mois après les révélations de Closer sur la prétendue relation du président Hollande et de l’actrice Julie Gayet, Valérie Trierweiler l'a semble-t-il toujours en travers de la gorge. Connue pour son caractère bien trempé et son côté rancunier, la journaliste de Paris Match s’en serait même pris au magazine people par qui le scandale est arrivé. Récemment condamné à publier une publication judicaire en couverture après avoir dévoilé des photos de Valérie Trierweiler et ses amies en vacance à l’île Maurice, le magazine a offert à l’ancienne Première dame de faire un don à son association plutôt que de faire paraître cette page. Et alors que le montant du don aurait été beaucoup plus important que le coût de la condamnation initiale (14 000 euros), la journaliste l’a tout bonnement refusé. Son avocat a en effet fait savoir que sa cliente refusait cette transaction de ce type et ce, même si celle-ci aurait pu servir les intérêts des causes qu’elle défend.

"Bien sûr, je vais continuer"En janvier dernier, pour la toute première fois après l’éclatement de l’affaire Hollande-Gayet et sa rupture avec François Hollande, Valérie Trierweiler était apparue en Inde. Elle s’était notamment  rendue à Bombay dans le cadre de son engagement auprès de l’association Action contre la Faim. "C’est très impressionnant de voir ces bébés de moins d’un kg avec des chances de vie très limitée. C’est une injustice car même si tout est fait pour le mieux, ils n’ont pas les mêmes moyens que dans nos hôpitaux", avait-elle déclaré lors d’une conférence de presse. Soulignant qu’elle était engagée dans l’humanitaire avant de faire son entrée à l’Elysée, elle avait par ailleurs assuré que son nouveau statut n’allait rien y changer : "Bien sûr, je vais continuer". Mais si Valérie Trierweiler s’est engagée à ce que sa vie privée ne déborde pas sur son engagement humanitaire, il semblerait toutefois que sa rancune soit parfois plus forte…