Closer révèle dans son numéro du jeudi 25 février les témoignages accablants de deux femmes à l'encontre de l'ancien présentateur vedette du JT de TF1. Elle évoquent un homme "malade" au comportement "pathologique" avec les femmes.

Deux nouveaux témoignages accablants viennent d'être révélés contre Patrick Poivre d'Arvor. Dans son numéro du 25 février, Closer dévoile les récits glaçants de deux femmes, qui auraient été confrontées aux comportements déplacés de l'ancien présentateur vedette du 20 heures. Depuis la révélation de la plainte pour viols déposée par Florence Porcel le 18 février dernier, les langues se délient et les témoignages affluent. "C'est un prédateur sans conscience, qui sera toujours dans le déni de ce qu'il a fait subir à de très jeunes femmes", assure l'une de ses anciennes proches, qui fustige auprès de Closer un comportement avec les femmes qu'elle juge "pathologique" chez Patrick Poivre d'Arvor.

L'ancienne proche du présentateur s'insurge également contre l'impunité avec laquelle il aurait agi dans le cadre de ses fonctions. "Ce qui me choque, c'est qu'il se soit conduit ainsi dans le cadre de son travail. Cette impunité hallucinante", dénonce-t-elle auprès de Closer. La seconde femme à témoigner est une journaliste qui aurait rencontré le présentateur du 20 heures lors d'un voyage de presse. Elle explique avoir d'entrée de jeu été sollicitée avec insistance par Patrick Poivre d'Arvor. "Le matin du premier jour, il m'avait demandé mon numéro de portable pour pouvoir 'échanger plus longuement avec moi'. Et dans la foulée, il m'a envoyé un SMS me proposant de le rejoindre dans sa suite", confie-t-elle.

"PPDA était plus qu'un dragueur, c'était un malade"

Malgré son refus, Patrick Poivre d'Arvor aurait renouvelé ses avances auprès de sa consœur. "Le jour du retour en France, comme il profitait de sa suite jusqu'à la dernière minute, il m'a à nouveau proposé d'y monter 'pour poser mes valises et prendre une douche si je voulais'", raconte la journaliste. Selon elle, "PPDA était bien plus qu'un dragueur impénitent, c'était un malade". De son côté, Patrick Poivre d'Arvor nie les accusations de Florence Porcel, son avocat évoquant "des accusations qui ne peuvent que être fantaisistes". Le 19 février dernier, il a réagi sur son compte Facebook, réfutant toute "forme d'emprise ou de contrainte" sur la jeune femme. Selon lui, cette plainte, que le journaliste assure "vivre douloureusement", n'est qu'un moyen d'"assurer la promotion d’un roman".