
Le préfet de police de Paris Laurent Nunez a détaillé mardi, dans une interview au Parisien, les conditions de circulation lors des JO de Paris-2024 et des Jeux paralympiques. Restrictions dans certaines zones...
Et si François Hollande gardait toujours un œil sur Valérie Trierweiler ? Et si, malgré leur séparation il y a bientôt un an, l’Elysée continuait de surveiller l’ancienne Première dame ? Voici ce que les dernières confidences de Valérie Trierweiler à une radio anglaise laissent supposer. Au cours d’une interview récemment accordée à l’émission "Rachel&co" sur les ondes de Radio French London, l’ancienne Première dame a en effet fait de nouvelles révélations à ce sujet. "Il semblerait qu’en venant à Londres mon fils et moi nous avions trois policiers autour de nous" a-t-elle raconté. "Ils étaient là jusque sur le quai de la gare. Moi je ne les ai pas repérés, ce sont des photographes qui les ont vus", a-t-elle poursuivi.
Des confidences qui font écho à d’autres, précédemment rapportées lors d’un entretien avec le Times. Valérie Trierweiler avait alors affirmé que François Hollande s’était débrouillé pour savoir où elle logeait et lui faire livrer par surprise des fleurs à son hôtel à New York et à Marrakech. "Je saurai toujours où te trouver", aurait-il même pris soin d’écrire sur un mot accompagnant les bouquets.
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"Pour assurer sa sécurité" ou pour l’espionner ?
"Pourquoi d’où sortent-ils, je n’en sais rien", a assuré Valérie Trierweiler au micro de Radio French London à propos des agents qui la suivraient secrètement dans ses déplacements. Mais si l’ex-compagne de François Hollande n’en a aucune idée, Closer avançait quant à lui au début du mois que c’est "pour assurer sa sécurité". Ecartant ainsi l’idée d’un quelconque espionnage au profit de François Hollande, le magazine people écrivait que le jour de son départ pour Londres, la journaliste de Paris Match ne soupçonnait pas la présence "de trois policiers en civil (…) à quelques mètres" d’elle à la gare du Nord ni celle de "deux hommes et une femme, fondus dans la foule".
De son côté, le ministère de l’Intérieur a répliqué en publiant un communiqué de presse rappelant qu’ "aucun service de police ou de gendarmerie ne protège ni ne surveille Madame Valérie Trierweiler depuis le 1er février 2014".
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