
Jeudi 16 mars 2023, l’intersyndicale s’est réunie à la suite de l’annonce de l’utilisation du 49.3 pour adopter la réforme des retraites. Une nouvelle mobilisation nationale a été déclarée pour le...
Valérie Trierweiler est en Une de Paris Match cette semaine. Quelques jours après que François Hollande a officialisé leur rupture, l’ex-compagne du chef de l’État a accepté de donner sa version des faits à Paris Match. Et alors que le dernier numéro du magazine ne sortira pas avant jeudi, la rédaction a d’ores et déjà dévoilé une phrase choc qu’elle a d’ailleurs utilisée sur sa couverture : "Quand j’ai su, j’ai cru tomber d’un gratte-ciel". Des premiers mots qui semblent donner le ton de l’article. Au journal qui l’emploie, Valérie Trierweiler aurait donc parlé à cœur ouvert.
Selon les informations du Point, l’ancienne locataire de l’Élysée aurait également confié à l’une de ses consoeurs de Paris Match qu’elle avait "entendu la rumeur" d’une liaison entre François Hollande et Julie Gayet, mais qu’elle avait refusé d’y croire. "Il y en a tellement, je n’y faisais plus attention", aurait-elle expliqué. Sa biographe et amie, Nadia Le Brun, avait quant à elle indiqué à Planet que "si on ne peut pas imaginer qu’elle ignorait tout de la supposée liaison" de son compagnon, "on peut aisément supposer qu’elle tentait de le reconquérir". La chute n’en aurait alors été que plus brutale en découvrant les photos publiées par Closer au début du mois.
Quant à ce qui aurait conduit à la fin de son couple avec François Hollande, Valérie Trierweiler a par ailleurs laissé entendre lors d’un entretien accordé à quelques journalistes en Inde qu’il pourrait s’agir du pouvoir. C’est selon elle, un univers "inhumain" et "hypocrite" dont elle serait aujourd’hui "vaccinée".