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Par Rédaction, le 02/11/2018
A la suite d’un remplacement dans un collège de Bonifacio en Corse, une enseignante est accusée d’avoir gardé un contact obscène avec certains de ses anciens élèves. La professeure est suspectée d’avoir envoyé des messages et des photographies à caractère sexuel à des collégiens, rapporte Corse-Matin.
Les échanges délictueux, qui auraient eu lieu durant l’été, ne sont venus aux oreilles d’une surveillante que récemment, à la suite de "bruits de couloirs", explique le quotidien local. "[Elle] avait entendu parler de photographies explicites montrant une ancienne professeure, qui circulaient au sein de la communauté des collégiens", précise une source judiciaire à France 3.
Après avoir interrogé "un élève potentiellement impliqué qui a confirmé les faits et lui a montré une photographie", cette assistante d’éducation a immédiatement signalé les faits à sa hiérarchie. Si le chef d’établissement a d’abord cru à un photomontage, il a tout de même prévenu la gendarmerie et le rectorat, indique France 3.
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Placée en garde à vue lundi 29 octobre dans le cadre d’une enquête préliminaire pour "corruption de mineur" et "diffusion d’images à caractère pornographique", la jeune femme d’une trentaine d’années a reconnu une partie des faits.
Néanmoins, elle assure que les échanges ont commencé après son départ et explique souffrir de troubles psychiatriques. Une expertise psychologique a été demandée par le parquet d’Ajaccio, rapporte Corse-Matin.
De son côté, le procureur de la République d'Ajaccio, Éric Bouillard, a confirmé que "trois victimes, âgées entre 14 et 15 ans, ont été potentiellement identifiées". Au vu de ces éléments, les investigations poursuivent leur cours. Des analyses techniques sont en cours sur l’ordinateur de la professeure, détaille France 3.
Pour l’heure, la contractuelle de l’Education nationale n’a pas été mise en examen et a été remise en liberté à la sortie de son audition. Elle devrait être convoquée prochainement devant le tribunal correctionnel d’Ajaccio pour s’expliquer.
Depuis la rentrée, l’enseignante exerçait dans deux autres établissements de Corse-du-Sud. Le rectorat l’a mise à pied dès qu’il a eu écho de cette affaire. Selon les informations de France 3, pour le moment, aucune autre élève n’a dénoncé de faits identiques.
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