
Lundi 20 mars, à l’annonce du rejet de la motion de censure transpartisane, la grève s’est durcie dans les raffineries. De nombreuses stations-service sont à sec depuis ce début de semaine. Quelle est la...
Dans une salle de cinéma, Johnny Hallyday ne s'installait pas à n'importe quelle place. En tout cas, si l'on en croit les confidences d'un de ses proches, Cyril Laffiteau. L'ancien publicitaire a partagé avec France Dimanche les souvenirs qu'il avait avec l'idole des jeunes et leurs passions communes : "la bouffe et le cinéma". Pourtant, Johnny Hallyday fuyait les salles obscures si l'on en croit son ami.
"On allait parfois au cinéma, mais il n'aimait pas trop ça, car il était claustrophobe", affirme ainsi Cyril Laffiteau. Mais la passion de l'interprète de "L'envie d'avoir envie" semblait plus forte que sa peur des espaces confinés. Pour pouvoir profiter d'un film avec son ami, Johhny Hallyday avait une technique bien rodée : "Il fallait toujours qu’il soit assis au fond, du côté de l’allée, pas loin de la sortie."
L'amitié entre les deux hommes remonte à la fin des années 80. "La première fois que je lui ai parlé, c'était en 1987–1988 quand il sortait avec l'une de mes amies, la journaliste Gisèle Galante, la fille d'Olivia de Havilland. J'ai eu l'idée de faire sponsoriser son spectacle par Nasa Electronics, le Darty de l'époque. Puis on s'est revus pour faire de la pub ", explique Cyril Laffiteau.
Très vite, leur relation professionnelle se transforme en une belle histoire d'amitié. Peut-être parce qu'ils étaient voisins lorsque Jonnhy vivait à la villa Molitor, dans le XVIe arrondissement. Et aussi, parce que le "taulier" a appris à vivre avec sa phobie.
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