Météo : le beau temps va-t-il durer encore longtemps ?

Le printemps 2017 a démarré en fanfare avec un temps ensoleillé et des températures parfois très au-dessus des normales de saison. Mais cette tendance va-t-elle durer ou bien doit-on se préparer à une dégradation ?

Le printemps est bel et bien là ! Depuis près de deux semaines, le pays profite en effet d’un ciel globalement dégagé et ensoleillé, accompagné de températures douces pour la saison. Des records ont même été atteints la semaine dernière. Et cette tendance devrait se poursuivre dans les jours à venir. Malgré un début de semaine un peu frais et marqué par quelques passages nuageux, le mercure devrait remonter et le soleil s’imposer dès mercredi. Les prévisionnistes annoncent d’ailleurs une superbe fin de semaine !

Ce lundi, on attend ainsi un ciel "un peu variable" partout, écrit Météo France dans son bulletin. "Les périodes en ensoleillées et les passages nuageux alterneront équitablement sur le pays mais le temps restera calme". Côté températures, "elles atteindront 15 à 20 degrés sur la majeure partie des régions, localement 14 à 17 près de la Manche, jusqu'à 19 à 24 degrés sur le pourtour méditerranéen".

"L’apothéose, ce sera vendredi, samedi et dimanche"

"La journée de mardi est plus incertaine", prévient cependant Jean-Louis Bodin sur LCI. "Mais cela ne va pas durer très longtemps. Certes, il y aura peut-être un peu plus de nuages mais globalement quand même le temps sera sec. Et puis, peut-être un petit risque d’averses en cours d’après-midi". Heureusement, dès mercredi, le mercure va entamer une remontée généralisée tandis que les nuages quitteront toute la moitié sud du pays. "A partir de jeudi, les conditions anticycloniques vont s’installer, annonce encore Jean-Louis Bodin. On approchera des 20°C dans la moitié nord et entre 23 et 25°C dans la partie sud".

Cette journée donnera le ton de celles à venir : "L’apothéose, ce sera vendredi, samedi et dimanche prochains", assure le présentateur météo qui ajoute que les températures seront alors "dignes d’une fin de mois de mai".