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Faire un discours en l'honneur de Jean d'Ormesson décédé début décembre est une chose. Encore faut-il bien préparer ladite prise de parole en amont. Histoire d'éviter toute mauvaise référence. C'est pourtant bien ce qui est arrivé à Emmanuel Macron. A l'occasion du discours donné le 8 décembre dernier aux Invalides, à Paris, le chef de l'Etat s'est, en effet, trompé au moment d'effectuer une comparaison entre la mort de l'académicien français et celle du poète français Paul Verlaine : "C'est cela votre œuvre (...)", a-t-il déclaré. Et de poursuivre : "Elle vous lie à la France, à ce que la France a de plus beau et de plus durable : sa littérature. C'est le moment de dire, comme Mireille à l'enterrement de Verlaine : 'Regarde, tous tes amis sont là'".
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Qui est cette "Mireille" ?
Seulement voilà, la personne ayant pronconcé ces mots au moment de l'enterrement de Verlaine se nommait non pas Mireille, mais bien Eugénie Krantz, soit la dernière femme du poète. Se lon le Monde, la Mireille en question ne serait autre que Mireille Berl née en 1892. Une chanteuse et compositrice elle-même mariée à un écrivain-historien répondant au nom d'Emmanuel Berl.
L'Elysée se défend
Une méprise qui n'est pas passée inaperçue si bien que l'Elysée a choisi de se défendre en reportant la faute sur l'un des collaborateurs du chef de l'Etat. Emmanuel Macron ne "s'est pas trompé" tout en précisant que la faute revenait, en réalité, à Sylvain Fort, chargé de la rédaction des discours du chef de l’Etat.
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